TOUT EST DIT

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mardi 21 octobre 2014

Vinci se positionne pour 14 aéroports en Grèce

Le groupe français Vinci est en lice avec l'allemand Fraport et l'argentin CASA pour la privatisation des aéroports grecs.

Selon les informations de l'agence grecque des privatisations (Taiped) relayées par l'AFP, les multinationales Vinci, Fraport et CASA convoitent le rachat des 14 aéroports grecs - dont les aérogares de Thessalonique, les îles touristiques de Corfou, Rhodes, Mykonos et Santorin - répartis en deux lots.

Prise à la gorge par un déficit public abyssal, la Grèce a initié un programme de réformes prévoyant la privation de ses aéroports. Avec la vente de ces 14 aéroports, le pays espère récupérer 2,2 milliards d'euros en 2015, 3,2 milliards en 2016, 2,8 milliards en 2017 et environ 3 milliards en 2018, précise La Tribune. 


LA QUESTION EST : OÙ INSTALLER CES AÉROPORTS ?

Réflexions de mi-mandat

A mi-mandat, 2 ans et demi, il me faut reparler de François Hollande. Un sondage Opinion Way le Figaro estime la cote de satisfaction du président de la République à 15% et un taux de rejet de 85%, nouveau record absolu dans l’histoire.
 Soyons clair, je n’ai pas l’intention de l’accabler. Rien ne me révulse davantage que toutes ces créatures, ministres, députés, presse, responsables politiques, monde médiatique, simple électeur, qui l’ont adoré, portés aux nues et se joignent aujourd’hui à la curée ou se préparent à l’achever. Je ne joindrai pas ma salive à leurs crachats; jouer la mouche du coche, tirer sur une ambulance, cogner un homme à terre n’est pas dans mon style. La vérité, la voici. Hollande n’est pas pire que la moyenne du politicien français, il en est représentatif et c’est pourquoi il est arrivé si haut. Les aléas de sa vie personnelle qui lui coûtent si cher? Ils sont à l’image de la classe politique nationale dans sa globalité sauf exceptions bien entendu. Les politiciens nationaux (les grands), pour la plupart – pas tous, j’insiste – souffrent d’une maladie de l’esprit, l’hypertrophie de l’ego principal moteur de leur engagement mais qui s’exprime aussi dans les débordements de leur libido et le nihilisme moral. C’est un phénomène banal, non généralisable mais étendu, des plus communs, triste mais observable de tous ceux qui ont approché ce milieu… François Hollande qui en émane et l’incarne si bien est devenu une sorte de bouc émissaire national, haï plus encore par la gauche que par la droite. Pourtant, il n’est rien d’autre que le reflet de la France politique et médiatique actuelle, notamment de celle qui l’a soutenu et s’en détourne lâchement en se lavant les mains avec un air dégoûté.
Bien sûr, le président porte le chapeau de ses erreurs, reculs, annonces démenties par les évènements sur le chômage notamment. Mais voulez-vous parier avec moi? Dans le contexte d’un pays ingouvernable, rongé par une impuissance politique chronique, aucun des prétendants à la magistrature suprême (en incluant bien entendu les extrêmes de droite ou de gauche) ne se porterait mieux après quelque temps à l’Elysée. Au bout de 6 mois, tous seraient cramés, atomisés, déglingués, comme lui. Bien entendu, certains s’y prendraient plus habilement que lui pour faire semblant et détourner l’attention des foules, mais leur répit ne serait que de courte durée. D’ailleurs, depuis l’ère de Gaulle/Pompidou, la cote de popularité des présidents ne cesse de s’effondrer. 70% d’opinions favorables à l’époque. Aujourd’hui 15% de confiance pour un chef de l’Etat dont la mission fondamental est d’incarner et guider le pays: un désastre national. Mais détester Hollande, le moquer, le renier, le lyncher est une attitude désormais banale de lâcheté et lâche de banalité. Nous vivons dans une impasse politique totale, bien au-delà de sa personne. L’obsession des dirigeants est celle de leur image. Dès lors, ils se refusent, les uns après les autres, à engager les vraies réformes de fond douloureuses nécessaires, sachant que l’idée d’un « remède miracle » comme la sortie de l’Europe est une véritable imposture qui ne réglerait strictement rien du drame d’un pays qui, globalement, vit au-dessus de ses moyens et se sclérose, paralysé par les rentes de situation, l’immobilisme, les inégalités dans la répartition du travail et des responsabilités.
Non, cette situation dramatique de la « gouvernance française », qui s’exprime dans la chute sans fin de la cote du chef de l’Etat, pourrait être au contraire l’occasion d’engager un débat de fond, sur l’excès de personnalisation du pouvoir, sur l’avenir de la présidence de la République, des institutions, sur la nécessité de repenser la démocratie, de revenir à une conception plus collective et anonyme du pouvoir – donc moins axée sur l’image – la souveraineté du Parlement, l’efficacité de l’Etat et de l’action publique, la question de savoir pourquoi les politiques quels qu’ils soient, ne parviennent plus à régler les problèmes, le renouvellement de la classe dirigeante, de la représentation nationale. Eh bien non. Circulez, braves gens, il n’y a rien à voir… 

CES PHOTO-REPORTERS QUI « TERRORISENT » LES CRS : ENTRETIEN AVEC MARIOS LOLOS

Les Chinois disent « une photo, mille mots »… pour la police grecque, se serait plutôt « une photo, une visite à l’hôpital ». Les passages à tabac des photo-reporters par les policiers durant les manifestations sont devenus une routine en Grèce.

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Lorsqu'un(e) jeune décide de devenir photo-reporter, il sait que, tôt ou tard, il aura affaire aux matraques des CRS grecs. De même que, lorsqu'un jeune décide de devenir CRS, il « exercera ses talents », tôt ou tard, par la violence, sur un photo-reporter.
Jusqu'à il y a quelques jours, les passages à tabac, les actions d'intimidation et le gazage des photo-reporters par la police étaient restés impunis. Les informations annoncent que « le tribunal d'Athènes a condamné un CRS à une peine de prison de 8 mois avec sursis pour avoir frappé au visage la photo-reporter Tatiana Bolari, en octobre 2011... ».
Mais derrière cette annonce se cachent des hommes, les acteurs de ces événements : les photo-reporters, qui sont habitués à nous informer sur ces événements, et non à en constituer eux-mêmes le sujet principal. L'un d'entre eux, Marios Lolos, est le président de l'Union des photo-reporters.
Popaganda : As-tu été surpris par la décision du tribunal ?
Marios Lolos : Il existe deux lectures de cette décision. D'un côté, le Tribunal à admis lui aussi qu'un membre des CRS a frappé une photo-reporter, Tatiana Bolari, et l'homme en question a été condamné à 8 mois de prison avec sursis. Il existait déjà une décision de justice pour aggression de journaliste par la police, mais pour aggression de photo-reporter, c'est la première fois, et peut-être la dernière. La seconde lecture de cette décision, négative cette fois, c'est que le policier n'a pas été condamné pour avoir avoir abusé de son pouvoir ou manqué à son service. C'est comme si le Tribunal disait que frapper un reporter fait partie du travail du policier.
"Avant 2008, on prenait les photos derrière les CRS, et on était contrôlés. Après 2008, on a décidé de passer du côté des manifestants, et ça n'a pas plu du tout."
J'étais témoin au procès, j'ai entendu la déposition du supérieur de ce CRS et la défense de son avocat. Jamais je n'avais entendu des mensonges pareils ! Ils ont présenté une photo où apparaît une femme qui tente d'enlever le masque du CRS, prétendant que cette femme était Tatiana, alors que les incidents étaient terminés au moment des faits : la circulation automobile avait été rétablie quand les policiers ont commencé à s'attaquer aux photo-reporters. Aucun collègue le portait de masque ni de casque pour se protéger. Tatiana, comme d'autres collègues, a commencé a protester et c'est à ce moment que le policier l'a frappée. Ce policier, pendant ces 3 années qui ont suivi, a travaillé comme si de rien n'était, et continue à travailler normalement. La décision de justice est un message adressé à mes confrères : nous ne devons pas avoir peur.
Marios Lolos
Marios Lolos (photo Angel Christofilopoulos / FOSPHOTOS)
Concernant ces cas d'extrême violence policière, monsieur Lolos a lui-même beaucoup à dire… il en a aussi fait les frais…
Personnellement, j'ai été hospitalisé pour traumatisme crânien, et il s'en est fallu de peu que j'en meure.
"Les policiers de la section DELTA non plus, ne portent pas de matricule. Ils ont frappé un confrère de l'agence française, nous avions la plaque d'immatriculation de leur moto, et malgré cela, ils n'ont pas été retrouvés."
Sans l'opération, au mieux je serais épileptique, et au pire, mort. Le coup m'a laissé un problème de toucher à la main gauche, j'ai en permanence l'impression de porter un gant, et quelquefois des choses me glissent de la main. C'est arrivé en mars 2012, un jour après l'« assassinat politique » de Dimitris Christoulas, le pharmacien en retraite qui s'est tiré une balle sur la place Syntagma [place du Parlement] – pour moi, il s'agit là d'un assassinat politique dans la mesure où cet homme ne s'est pas suicidé parce qu'il ne savait pas quoi faire de sa vie, ni parce qu'il était dépressif. Son suicide a eu lieu dans une situation politique bien précise, et constitue un geste politique. Le lendemain, un rassemblement a eu lieu. À un moment donné, la police a repoussé les manifestants et, sur la place, seuls sont restés les photo-reporters et les journalistes. Ils ont commencé à nous repousser vers la rue Panepistimiou, où la section de police est apparue. Soudain, j'ai senti qu'ils me frappaient dans le dos avec leurs boucliers ; et ensuite, un coup sur la tête, puis tout est devenu blanc. Au début, je n'avais pas compris ce qui s'était passé. Quand j'ai repris mes esprits, j'ai essayé d'allumer une cigarette mais elle m'a glissé des doigts. J'avais perdu le sens du toucher à la main gauche et j'avais une bosse. Je suis allé à l'hôpital, les médecins qui m'ont examiné m'ont dit que je devais être opéré immédiatement par un neurochirurgien. Chrysoïdis, le ministre à ce moment-là, a fait une annonce. J'ai reçu un bouquet de fleur du Président de la République. Mais le policier qui m'a frappé n'a pas été retrouvé.
C'est si difficile que ça, de retrouver les policiers qui frappent dans des lieux publics ?
Dans mon cas particulier, c'était très facile, parce qu'il n'y avait qu'une section de police à cet endroit-là, c'est-à-dire environ 20 agents, ça n'était pas sorcier.
Alors pourquoi ne sont-ils pas retrouvés ?
Parce que personne ne le veut ! Notre Union ne se positionne pas contre le chef de la police, mais contre les dirigeants politiques. Ce n'est pas le policier qui nous intéresse, c'est l'homme politique. Auparavant, Chrysoïdis avait annoncé que les CRS porteraient un matricule permettant de les identifier. Les policiers de la section DELTA non plus, ne portent pas de matricule. Ils ont frappé un confrère de l'agence française, nous avions la plaque d'immatriculation de leur moto, et malgré cela, ils n'ont pas été retrouvés.
Quand le métier de photo-reporter est-il devenu dangereux ?
"Quand le ministre de la Protection du citoyen a vu que notre boycot des déclarations officielles lui faisait du tort, il nous a convoqués dans son bureau et nous a dit ni plus ni moins qu'il ne pouvait pas nous assurer que la police ne nous aggresserait plus."
À partir de décembre 2008, quand nous avons annoncé que nous allions travailler avec l'équipe d'aide aux jeunes arrêtés durant les arrestations. Nous avons fait cela parce qu'à l'époque ils arrêtaient beaucoup de gosses qui n'avaient rien sur eux, et ensuite ils les montraient avec un sac [supposé contenir cocktail molotov, pierres ou autres]. Donc on prenait des photos pendant le déroulement des faits, et c'est comme ça qu'on a démontré que, le plus souvent, les jeunes n'avaient pas de sac. Et ça, ça n'a pas plu ! Avant 2008, on prenait les photos derrière les CRS, et on était contrôlés. Après 2008, on a décidé de passer du côté des manifestants, et ça n'a pas plu du tout. Quand on a compris qu'on n'arriverait à rien avec des déclarations, on a commencé à boycotter les apparations officielles des politiques. Quand Tatiana Bolari a été agressée, Christos Papoutsis était ministre de la Protection du Citoyen. Quand il a vu que notre boycot lui faisait du tort, il nous a convoqués dans son bureau et nous a dit ni plus ni moins qu'il ne pouvait pas nous assurer que la police ne nous aggresserait plus.
"Ils peuvent brandir leurs matraques, nous effrayer, nous menacer autant qu'ils veulent, nous continuerons à photographier."
Il a proposé que tous les photo-reporters portent un gilet fluorescent, comme des sapins de Noël, à quoi nous avons répondu qu'on ne porte ces gilets que dans les guerres, en nous demandant s'il considérait la place Syntagma comme une zone de conflit armé. Il nous avait aussi dit que les forces de police considèrent les appareils photos comme des armes mortelles en puissance. Je suis allé à une conférence du POASY (fédération nationale des employés de police) et je leur ai expliqué que ce qui nous intéresse, nous, photo-reporters, ce n'est pas le nom du policier, ni qui il est ou ce qu'il fait en dehors du service. Ce qui nous intéresse, c'est ce qu'il fait à partir du moment où il porte l'uniforme. Quand ils se prennent les cocktail molotov et qu'on prend des photos, on est des gentils, mais quand on prend des photos alors qu'ils tabassent on est des méchants ?
Et à l'étranger ?
À l'étranger aussi, il y a des cas de violence policière, mais il existe une différence : le coupable, ils le trouveront et il sera condamné. Même en Amérique, où les choses sont très violentes, ils sont condamnés. Ici les dirigeants politiques ne veulent pas que soient identifiés les policiers qui cognent, parce qu'ils ne peuvent pas d'un côté leur demander de faire le sale boulot, et de l'autre les condamner. La façon dont les choses se passent ici, ça n'existe nulle part ailleurs.
Avec le mémorandum, beaucoup de photo-reporters étrangers sont venus en Grèce…
Quand ils sont arrivés ici, ils portaient des gilets pare-balles et des casques. Et ça, ils ne le font pas partout. Heureusement, personne n'a été blessé, mais j'ai sauvé du passage à tabac beaucoup de confrères étrangers.
Comment changer cette situation ?
Faire des déclarations ou aller voir chaque ministre de l'Ordre Public n'est d'aucune utilité. Nous avons besoin d'un réseau de protection, et ce réseau de protection, ce doit être les gens dans la rue, les manifestants qui, quand ils se rendent compte qu'un policier frappe quelqu'un, ne doivent pas regarder de l'autre côté et partir. Objectivement, c'est la seule façon de se protéger. Ils peuvent brandir leurs matraques, nous effrayer, nous menacer autant qu'ils veulent, nous continuerons à photographier.

La suite de cet article est en cours de traduction : un autre cas qui a choqué l'opinion publique, celui du journaliste Manolis Kypraios
Source : popaganda.gr


Monsieur le Président ,

J'espère que votre secrétariat va être submergé par le courrier des retraités !!
Ceux qui sont en retraite de nos jours
n'ont pas travaillé 35h00 par semaine,
n'ont pas eu 5 semaines de congés payés,
20 jours de RTT,
n'ont pas commencé à travailler entre 22 et 25 ans,
et pour beaucoup, les retraités du privé, ont travaillé après 60 ans,
en ayant commencé à 16 ans voire moins !
Et, aujourd’hui ils devraient être pénalisés, quelle honte.
Ils ont largement cotisé.
Les retraités aident leurs enfants, petits-enfants,
le chômage touche tout le monde, les études sont de plus en plus chères,
et les grands-parents sont continuellement sollicités.
Alors STOP
Il y a des économies à faire dans ce pays, mais les énarques,
sont tellement loin des réalités quotidiennes...
Des amies à moi, ouvrières en couture,
touchent aujourd'hui 900 EUR / mois
et les cas comme celui-là ne manquent pas..
Ces femmes dont il est question, vont devoir sauver la sécurité sociale,
dont profitent certains qui n'ont jamais cotisé ?
Des vieux retraités habitant de vieux logements mal isolés
vont devoir payer plus cher leur électricité
pendant que des étrangers en situation irrégulière
vont être logés et chauffés aux frais du contribuable.
Honte à vous, gens de gauche,
près du peuple soit disant.
> > > > > > >
Je n'ai pas fait de grandes études,
mais je peux vous donner quelques solutions pour faire des économies :
Supprimer le SENAT qui ne sert à rien,
et que vous avez tant décrié quand vous n'en aviez pas le contrôle !
80% de ces gens ont largement dépassé l'âge de la retraite,
et continuent de percevoir des revenus indécents
pour dormir dans des sièges confortables !
Diviser par 2 le nombre des députés, cela suffirait.
Supprimer les budgets alloués par l’État à la presse quotidienne,
aux journaux télévisés, aux radios, qu'ils se financent avec la publicité
Supprimer la gratuité totale de l'ENA,
pour ceux qui accèdent à des postes de cadres dirigeants dans le privé,
ils devraient rembourser...
Supprimer les avantages donnés aux fonctionnaires en poste outre-mer,
et aux investisseurs tous les départements français devraient être égaux.
Aligner le système de retraite des fonctionnaires sur le système des privés,
vous qui parlez toujours de supprimer les privilèges.
Rétablir les 39 heures/semaine dans la fonction publique.
Supprimer les subventions aux multiples associations,
dont beaucoup sont, comme SOS racisme, des officines de la gauche..
On peut aussi supprimer les abattements d'impôts octroyés aux journalistes !
C'est un avantage injuste, mais c’est vrai qu'ils ont largement contribués
à l'arrivée au pouvoir de la gauche,
et qu'il faut donc les récompenser...mais : motus !..
Cet argent gaspillé sont NOS impôts, alors STOP !
Un peu plus de contrôles pour éviter les arrêts maladie de complaisance,
et réduire un peu le trou de la Sécu.
STOP aux primes allouées aux médecins
qui ne prescrivent pas trop de médicaments !
ils font tout simplement leur travail consciencieusement,
en évitant d'engraisser les grands laboratoires pharmaceutiques,
si bien défendus par Mme Bachelot,
HONTE à elle, prête à tout pour exister.
Passer des accords avec les dirigeants des pays du MAGHREB,
pour que les Voyous étrangers, soient emprisonnés dans leur pays
pour la durée de leur peine, et ne soient pas à la charge de notre Pays.
Les prisons chez eux sont de vraies prisons
et non des centres de loisirs qui nous coûtent très cher.
> > > > >STOP à l’Âme véritable pompe aspirante !!
STOP aux voyages à l'étranger avec autant de ministres,
ces déplacements sont simplement des "remerciements"
des vacances offertes gracieusement...
les Retraités ont le temps d'aller en vacances, en week-end,
au cinéma, au restaurant, au club de sport (pour certains) et alors ?
ce n'est pas gratuit pour eux, et ils contribuent à l'économie du Pays,
et c'est encore sur cette population que l'on veut frapper !
les retraités propriétaires sont montrés du doigt !!
mais ils se sont privés toute leur vie
pour ne plus avoir de loyer à payer pendant leur retraite,
ils payent déjà sur leur logement, qu'ils ont remboursé en 15 ou 20 ans,
des impôts fonciers de plus en plus lourds...
il faut donc pénaliser les gens économes et travailleurs,
pour aider ceux qui ont profité des largesses de la société toute leur vie ?
Et maintenant il est question de les imposer sur un « loyer fictif »
mais n'est-ce pas déjà cela l'impôt foncier ?
Vous n'ignorez pas les tarifs d’hébergement des maisons de retraite
2200 euros et plus par mois,
Qui peut financer cela ?
Celles et ceux qui n'en n’ont pas les moyens
se retrouvent dans des mouroirs,
alors que les prisons sont de plus en plus luxueuses et gratuites !
La fameuse «relance» dont vous aviez le secret
se traduit aujourd'hui par une croissance zéro
en 2012 et aussi en 2013.
Diminuer le coût du travail ne coûterait rien si l'on revenait
à 3 semaines de congés, mais ce sont les syndicats
qui vous ont fait roi et aujourd'hui ils vous tiennent,
alors vous amusez la galerie avec le mariage des homos
et le vote des étrangers....
Le remue ménage autour d'une bande de petits voyous islamistes
est bien venu pour faire oublier que dans les sondages
votre côte est en chute libre.
Les français ne sontpeut-être pas aussi cons que vous le pensiez !
Ne méprisez pas ce message et agréez, Monsieur le Président, mes salutations.
Cette lettre exprime ce qu’un très grand nombre de personnes
découvrent, pensent, et veulent dire haut et fort !
Hélas … je suis sûr que son destinataire, principal intéressé,
s’en moquera, enfermé dans sa « normalitude »,
entouré de son gouvernement de pieds nickelés
et imbu de sa haute fonction de Président élu !
 

La Grèce rechute, prouvant que la crise n'est pas finie

La mini-crise boursière qui a secoué la Grèce a surpris tout le monde à Athènes. 
Un peu comme une piqûre de rappel pour ne pas oublier que cette crise est là, installée pour de longues années encore dans le pays. 

Remontée brutale des taux d’obligation à dix ans de 9 %, baisse, sur deux jours, de la bourse d’Athènes de plus de 10%, en cours de séance, 11% de chute de l’indice des banques; cette rechute de l’économie grecque était la plus grosse rechute depuis deux ans. 

Cet événement intervient alors même que le gouvernement de coalition socialo-conservatrice mettait en avant ses réussites économiques, son retour sur les marchés, son excédent budgétaire primaire et ses deux émissions d’obligation à moyen terme. Et clamait haut et fort une  prochaine sortie de la tutelle économique de la Troika. Une Troïka qui a prêté au pays 240 mrds€ pour lui éviter la banqueroute. 

Mais ceci expliquant cela, justement, les marchés sont devenus nerveux, d’où, entre autres, les attaques financières sur Athènes. 
Pour Panayotis Petrakis, professeur d'économie financière à l'université d'Athènes, cette réaction était "un signe clair de la situation 
économique du pays et de l'incertitude sur les négociations en cours entre la Grèce et ses créanciers sur le maintient de cette tutelle  financière.

Opinion largement partagée par tous les éditorialistes grecs du pays qui accusent la classe politique d’irresponsabilité. 
La gauche pour exiger la tenue de législatives anticipées, les conservateurs pour avoir affirmé pouvoir se passer de la Troïka alors que c’est loin d’être le cas. Avec pour résultat, une mini-panique boursière et une fragilisation supplémentaire de l’économie du pays. Le tout sur fond d’incertitude politique. 

La gauche radicale qui caracole dans les sondages pourrait bien venir aux affaires en cas d’élections. Surtout si elles interviennent avant le printemps comme tout le laisse croire.

Incertitude politique

Le Parlement doit, en effet, élire le futur président du pays, d’ici janvier 2015. 
Mais, si le Premier ministre, Antonis Samaras, ne rassemble pas les 180 députés nécessaires, sur 300, autour d’un candidat, le pays sombre dans des législatives anticipées. Or, la majorité gouvernementale ne compte que 155 députés, d’où les peurs légitimes des marchés. 

Du coup tout le monde a mis de l’eau dans son vin. La Commission a réaffirmé un très ferme soutien au pays et la Banque centrale européenne (BCE) a donné un coup de pouce à ses banques. Même si, à l’heure actuelle, personne ne sait toujours pas comment le pays va combler son trou budgétaire, estimé à 12 mrds€. Le gouvernement a annoncé que la Grèce envisagerait un filet de sécurité après la fin du programme européen (prévu en décembre 2014), qui prendrait la forme d'une ligne de crédit de précaution de la part du Mécanisme Européen de Stabilité (MES). 
  
"Nous sommes à un point d'équilibre délicat, la dynamique actuelle dans le paysage économique implique une stabilité politique", a déclaré Guikas Hardouvelis dans un entretien à l'hebdomadaire dominical RealNews. Le ministre grec des Finances a imputé "les réactions négatives" des marchés à"l'incertitude" sur l'économie du pays qui pèse avec la fin du programme d'aide européen arrivant à échéance en décembre 2014. "Le redressement des marchés reviendra quand les causes de cette incertitude vont disparaître." 

Alexis Tsipras, dirigeant de la Gauche radicale "Syriza", principal parti d'opposition en Grèce en tête dans tous les sondages, a une opinion différente. Pour lui, "seule une solution sur la dette publique du pays pourrait freiner les spéculations des marchés."