TOUT EST DIT

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mardi 4 novembre 2014

Terrorisme écolo

Terrorisme écolo

Jets de bouteilles d’acide, de cocktails Molotov et de pavés, tirs de mortiers, coups de barres de fer… Venus pour « casser » – voire tuer – du flic, le ban et l’arrière-ban de l’extrême gauche s’en sont donnés à cœur joie pendant tout l’après-midi de samedi à Nantes, Toulouse ou encore Dijon, comme ils l’avaient déjà fait le week-end dernier sur le site de Sivens. Des déchaînements de violence anarcho-trotskistes qui se multiplient dans l’impunité la plus totale et sont même en passe de faire plier le gouvernement.

Stop à l’impunité !



Censées rendre hommage à Rémi Fraisse, ces manifestations à l’appel de divers groupes anticapitalistes avaient en vérité pour objectif de « casser du flic », comme en témoignent les nombreuses armes (dont des haches !) saisies sur les quelque 35 personnes interpellées à Nantes, Toulouse et Dijon. Des villes qui ont fait l’objet d’une véritable guérilla urbaine des heures durant, au cours de laquelle une dizaine de personnes ont été blessées. Dont un policier touché par une bouteille remplie d’acide…
Dimanche encore, près de 300 militants d’extrême gauche se rassemblaient illégalement dans le nord-est de Paris pour en découdre avec les forces de l’ordre, qui ont procédé à 76 interpellations, dont 19 gardes à vue. De source policière, certains des interpellés avaient encore dans leurs sacs « des marteaux, des pinces, des casques, des poings américains, des pétards et des engins incendiaires ».

Capitulation en vue


Une situation absolument inconcevable en un temps où la moindre altercation impliquant un individu « d’extrême droite » ou prétendu tel entraîne illico la dissolution du ou des mouvements dont il est sympathisant. Alors que les groupuscules d’extrême gauche, dont certains entrent clairement dans la catégorie « terroriste », saccagent régulièrement des centres villes et s’en prennent violemment aux forces de l’ordre depuis des années, aucun d’entre eux n’a en effet, à ce jour, été dissous. Une impunité scandaleuse très justement dénoncée samedi par le FN.
Mais il y a pire encore. Alors que les forces de l’ordre pansaient dimanche leurs blessures et que l’on commençait à déblayer les gravats à Nantes et à Toulouse, le ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal, préparait les Français à une lamentable capitulation devant ces groupuscules, en expliquant qu’il y avait eu « manifestement une erreur d’appréciation » dans le dossier du barrage de Sivens et qu’un « tel ouvrage ne serait plus possible aujourd’hui » ! 

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