TOUT EST DIT

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ǝʇêʇ ɐן ɹns ǝɥɔɹɐɯ ǝɔuɐɹɟ ɐן ʇuǝɯɯoɔ ùO

jeudi 25 juillet 2013

Hollande dénonce la "radicalisation d'une droite de type Tea Party"


Faute de consistance sur le fond, le Président a besoin d’épouvantails. Il gagnerait à balayer devant sa porte.
Selon le Président Hollande, on assisterait à une radicalisation d'une droite de type "Tea Party" en France (sourcele Lab Europe 1). Le chef de l’État appuie son raisonnement sur l'affaire Bourdouleix [1] et les propos du député-maire de Cholet concernant les gens du voyage ou sur la radicalisation à l'occasion du débat sur le mariage dit pour tous.
Le Président de la République, un homme cultivé, intelligent et bien formé, est très certainement dans l'ironie lorsqu'il effectue des comparaisons aussi approximatives, à moins qu'il ne cherche à renforcer son statut de chef de la majorité, en définissant des éléments de langage grossiers et caricaturaux.
D'abord, rappelons ce qu'est le Tea Party (la Tea Party, en fait). La Boston Tea Party, c'est une révolte fiscale des colons anglais de Nouvelle Angleterre, en 1773. Le parlement britannique avait voulu lever des taxes, les locaux se sont rebellés. Le mouvement lancé a conduit à l’Indépendance des États-Unis d'Amérique.
Zizin premier c'est moi ! Personne d'autre !
Le Tea Party, aujourd'hui, est un mouvement hétéroclite qui se confond partiellement avec le mouvement politique libertarien US. Il est très difficile de classifier le Tea Party, car certains de ses membres défendent des thèmes de la droite du Parti Républicain ("christian values", "stopper l'immigration des Mexicains"), d'autres, plus cohérents, s'en tiennent au libertarianisme d'Ayn Rand et sont proches de Ron Paul (qui est pourtant catholique alors qu'Ayn Rand est ultra athée). Politiquement parlant, le Tea Party est donc à mi chemin entre le Parti Républicain et le Parti Libertarien, opposé à Obama, parfois par racisme pur, et le plus souvent sur des problématiques fiscales.
Après tout, ce n'est pas être insultant que de rappeler que les Américains, tous migrants, n'ont pas traversé des océans pour avoir une Sécurité Sociale.
Du coup, est-ce qu on peut dessiner ne serait-ce qu'un parallèle entre la droite française et le Tea Party ? Bien sur que non. La droite française, conservatrice, n'est inspirée ni par le libéralisme économique ni par le libertarianisme politique et sociétal. Très souvent, la droite française s'en tient aux thèmes classiques du socialisme de droite (toujours plus d’impôts, plus de lois, plus d’État). Mais ce qui est sûr, c'est que le terme Tea Party est plutôt insultant, du point de vue (journalistique et politique) français.
Peut-on tirer des conclusions de portée générale de l'affaire Bourdouleix ? Non, évidemment. Ou alors, il faudrait se demander si le Parti Socialiste, en 2007 (affaire Frêche) ressuscitait le national-socialisme qui a tant coûté à l'Europe des années 30 et 40, en faisant des distinguo entre hommes et sous-hommes.
Il faudrait se demander si Bourdouleix est un individu, et non pas l'ensemble de la droite et du centre, tout comme Frêche ou le maire de Noisy ne sont que des individus, et non pas l'ensemble de la gauche.
Il faudrait se demander si, quand le ministre Arnaud Montebourg, tellement porté sur le nationalisme économique, nomme du nom de Colbert un logiciel du Ministère de l’Économie, faisant mine d'oublier que le ministre de Louis XIV était l'organisateur de l'esclavagisme et de l'expulsion des Juifs des Antilles, en plus d'être un protectionniste, le PS favorise la résurgence d'une gauche réactionnaire et antisémite qui rêve de retour au bon vieux temps des colonies.
Il faudrait se demander si, quand le PS fait tout pour faire élire Marion Maréchal le Pen, quand il organise des rafles de sans papiers à Barbès, quand il ne ferme pas la ZAPI 3 de Roissy, quand il expulse des Roms et des gens du voyages à Lille, Paris ou Nantes, quand il prend par principe la défense de policiers potentiellement violents et peut-être racistes à Trappes, il n'est pas, justement, dans cette continuité qui, depuis les années 40, lui a permis de s'exonérer de la responsabilité qu'il détient dans la montée du national-socialisme, puis dans la Seconde Guerre Mondiale, puis dans la répression algérienne, bref, dans ce climat qu'il s'empresse maintenant d'attribuer à une certaine droite qui, elle aussi, ferait mieux de mesurer ses propos, pour ne pas dire se tenir à carreaux.
Non, on ne peut pas croire à une tentative de récupération aussi minable. Cela serait vraiment fort peu digne d'un personnage qui doit faire à des tensions entre armée et population en Corrèze, à la crise de la dette en zone Euro, au scandale d'une BAC peut-être coupable de racisme à Trappes, à des problèmes avec la centrale nucléaire de Fessenheim, aux affaires Dalongeville, Andrieux, Guerini et Cahuzac et à la plainte d'un contribuable pour ISF non payé.
C'est sans doute le Lab Europe 1 qui sur-interprète la pensée du chef de l’État.
Quant à la question du mariage dit pour tous (dit, car, jusqu'à présent, les revendications des Mahorais de rétablissement de la polygamie sont restées lettres mortes), il serait quand même judicieux de rappeler qu'il ne s'agissait pas d'un débat gauche-droite puisque des élus de gauche étaient contre le principe [2] et des élus de droite y étaient très favorable [3], d'une part, et que, d'autre part, les manifestants qui sont venus défiler à Paris ont surtout protesté contre la PMA et la GPA à venir. L'article de France TV Infos d'hier pourrait leur donner raison.
Faute de consistance sur le fond, le Parti Socialiste a besoin d’épouvantails. Gageons que d'ici à 2014, il y aura d'autres extrémistes norvégiens arrêtés au petit matin et d'autres affaires Bourdouleix. C'est le rôle des démocrates, de l'UDI notamment, que de ramener la politique vers les sujets importants : baisse des impôts et de la dépense publique, intégration européenne, diplomatie des Droits de l'Homme, préservation des libertés civiles et limitation du rôle de l’État.
Le PS, de son côté, doit cesser de se radicaliser en rendant hommage au communisme, en se dédouanant de son passé, en adoptant des mesures populistes (pour ne pas dire plus) et en recevant les leaders d'extrême gauche.
  1. il est possible d'avoir un point de vue alternatif sur cette affaire, comme Breizh Journal
  2. Le Point : de gauche et contre le mariage gay : Jérôme Lambert, Bernadette Laclais (Savoie), Patrick Lebreton (Réunion), Gabrielle Louis-Carabin (Guadeloupe), Marie-Françoise Bechtel (Aisne), Jean-Luc Laurent (Val-de-Marne), Dominique Potier (Meurthe-et-Moselle), Jean-Philippe Mallé (Yvelines), Nestor Azerot... 
  3. De droite et du centre et pour le mariage gay : Jean-Louis Borloo, Franck Riester, Jacky Madja, Roselyne Bachelot...

5 conseils pour améliorer sa volonté

La volonté implique bien plus de choses que le simple contrôle de nos mauvaises habitudes. C’est une qualité qui sépare les gens les plus productifs des moins productifs, et c’est aussi un trait de caractère dont beaucoup d’entre nous manquent. Des études réalisées sur plus d’un million de gens montrent que pour les femmes et les hommes d’aujourd’hui, le contrôle de soi est le trait de caractère qu’ils reconnaissent le moins en eux.
Malheureusement, notre environnement aggrave le problème. Internet détruit notre capacité à nous concentrer et à lire profondément. Dans leur livre, « Willpower » (Volonté), John Tierney et Roy Baumeister affirment qu’un utilisateur typique d’internet consulte une quarantaine de sites quotidiennement.
Il est donc essentiel de s’entraîner pour regagner de la volonté. Voici 5 conseils :
Faites de petits exercices.

Des recherches ont démontré que le simple fait de vous forcer à vous tenir droit sur votre chaise, vous permet d’exercer le même muscle mental qui pourrait vous permettre d’arrêter de fumer ou de perdre du poids.
Occupez-vous de vos plus grands défis un par un
Si vous voulez vous débarrasser d’une mauvaise habitude, vous devez vous concentrer sur elle seule. Prenez la résolution de ne vérifier votre compte Facebook ou Twitter que deux fois par jour, par exemple ; puis, lorsque vous vous êtes libéré de l’habitude de les consulter trop souvent, passez à votre nouveau projet de régime ou de sport. A court terme, votre réserve de volonté est fixe, et si vous vous surchargez avec de nouveaux défis, vous réduisez votre chance de relever l’un d’entre eux.
Surveillez-vous.
Mettez en place des moyens de surveillance : si vous courrez, par exemple, chronométrez-vous. Mesurez le temps que vous passez sur des tâches, ou la quantité de travail produite. Si vous avez la manie de consulter vos emails ou de vous connecter sur les réseaux sociaux trop souvent, notez-le quelque part à chaque fois que vous vous connectez, et forcez-vous à réduire quotidiennement le nombre de fois où vous vous y rendez.
N’oubliez jamais de recharger les batteries.
Votre volonté s’épuise au fil de la journée, et si vous avez un travail stressant, votre capacité à prendre des décisions est plus mauvaise l’après-midi qu’elle ne l’est le matin. Faire des pauses et manger peut vous aider à reconstituer une partie de votre capital de volonté. Ne sautez pas les repas et ne déjeunez pas à votre bureau tout en travaillant, vous pourriez entamer votre capacité à bien travailler et à prendre des décisions dans l’après-midi.
Rangez
Une méthode simple pour améliorer la volonté est de travailler dans un environnement net. Tierney et Baumeister affirment que le désordre peut infecter le reste de votre existence, alors qu’un environnement net et propre peut vous aider à maintenir votre contrôle de vous-même pour les autres tâches que vous devez assurer. 

    Inverser la courbe du chômage d'ici la fin de l'année: un objectif "tenable" selon Ayrault

    Jean-Marc Ayrault a estimé ce jeudi après la nouvelle hausse des chiffres du chômage en juin que l'objectif d'inverser la courbe du nombre des demandeurs d'emploi d'ici à la fin de l'année était "tenable" et "souhaitable".

    La méthode Coué ne suffit pas : alors que le président François Hollande s'est engagé à inverser la courbe du chômage à la fin de l'année, cette dernière n'a toujours pas entamé sa descente. Les demandeurs d'emplois ont augmenté de 14.900 le mois dernier. Toutefois, le gouvernement maintient son engagement. En marge d'un déplacement en Corée du Sud, Jean-Marc Ayrault a insisté sur cet objectif "tenable" et "souhaitable". "On n'a jamais tout essayé contre le chômage. C'est une bataille permanente", a-t-il ajouté.
    Même constat pour le ministre du Travail, Michel Sapin, qui a reconnu ce jeudi sur Europe 1 : "Non, le retournement n'est pas là. Il y a un ralentissement. Le ralentissement c'est le moment qui précède le retournement" de la courbe du chômage, en hausse depuis 26 mois, a-t-il déclaré.
    Michel Sapin maintient donc malgré tout ses prévisions optimistes : "Le nombre des chômeurs toutes catégories diminuera vers la fin de l'année, car c'est là que l'inversion de la courbe du chômage s'inscrira dans la réalité", a affirmé le ministre. Pourtant, fin juin, le nombre des inscrits dans la catégorie des chômeurs sans activité en métropole, en hausse continue depuis 26 mois, a atteint, avec 14.900 nouveaux inscrits en métropole,  un nouveau record : 3,279 millions.
    La courbe s'est inversé pour les moins de 25 ans 
    Mais selon Michel Sapin, certains détails tirés du flux statistique permettent d'espérer : "Pour la première fois, deux mois de suite, le chômage des jeunes de moins de 25 ans recule. L'inversion de la courbe du chômage existe pour les moins de 25 ans. C'est une grande satisfaction", a fait valoir le ministre.

    Selon Michel Sapin, "le pire moment de Sarkozy c'était 60.000 (nouveaux inscrits) par mois. Le plus dur que nous ayons connu c'était 30.000 par mois. Aujourd'hui nous avons 15.000 chômeurs par mois". "Pour pouvoir inverser, il faut d'abord ralentir", a-t-il dit. Le nombre des nouveaux inscrits en catégorie A en métropole avait atteint 39.800 en avril dernier. Le ministre du Travail a aussi évoqué des "signes d'amélioration en termes de reprise légère de la croissance au deuxième trimestre et sur le front du chômage". "Mais l'amélioration n'est pas le retournement, il fait continuer la mobilisation, continuer les efforts", a-t-il dit.
    AYRAULT DEUXIEME AU BOX-OFFICE 
    DES BONIMENTEURS SOCIALISTES, 
    SOUTIENT L'ABSURDE EN MENTANT
     , NON SEULEMENT À LUI-MÊME,
     MAIS AUX FRANÇAIS.

    Une nouvelle Jeanne d’Arc sauvera la France

    Kate Middleton a accouché du futur héritier du trône d’Angleterre. Toute la presse internationale en fait les gorges chaudes et les nouvelles se propagent comme s’il y avait le feu aux trousses.

    Même dans la nuit les tabloïds étaient remplis des informations les unes plus fraîches que les autres : « Attention ! Dans une robe blanche aux pois bleus l’heureuse maman est apparue à la porte de l’hôpital au bras de son mari portant fièrement un bébé tout rose et joufflu… » A écouter ce concert de voix enthousiastes, on se demande si le public n’est pas un peu tombé sur la tête ou, autre chose, tous se sont convertis au monarchisme pur et dur. Imaginons maintenant qu’il s’agisse du fils d’un François Hollande ou d’un Sarkozy. Le public se serait-il autant intéressé à cet événement ? On se rappelle peut-être aussi l’histoire du Rocher où la princesse monégasque s’est choisie pour petit ami et époux l’un des gardes du corps du château. C’était un scandale à l’échelle franco-internationale comme si les têtes couronnées même s’il s’agissait de la maison des marchands Grimaldi, point connus par les grandes maisons impériales européennes, jouissaient d’un statut spécial, différent de celui des présidents et autres politiques.
    Et voilà maintenant que le bon roi Albert II vient d’abdiquer et que Philippe Ier de Belgique a accepté d’assurer la relève. Une fois de plus la nouvelle défraie la chronique mondaine et internationale. Quoi qu’en disent les héritiers des Jacobins, la monarchie semble exercer toujours un attrait irrésistible sur le bas-commun et le fin gratin de la société.
    C’est d’autant plus vrai que c’est bien sous le régime royal que la France a connu ses grandes heures : je dirais même royal et impérial Napoléon ayant été un empereur. Depuis l’avènement de la République début vingtième, le pays a été plongé dans une torpeur somnolente en méditant sur les fastes des hauts faits de son histoire millénaire. Et surtout n’allez pas me parler de l’Armistice. Avec tout le respect que l’on doit aux poilus de Verdun, la force leur a manqué pour dompter l’Allemagne. En plus la France a combattu avec ses alliés. Sur les 4 années de la Grande-Guerre, 3 ont été vécues ensemble avec l’armée russe qui combattait à l’Est en attirant les corps d’élite de l’armée allemande ce qui a d’ailleurs sauvé la mise de Paris sous la Marne.
    La monarchie, elle, a forgé la France. Et c’est bien l’aristocratie française avec Alexis de Tocqueville et le marquis de La Fayette qui contribua à la naissance de la nation américaine. Le nier relèverait de la déformation de l’histoire.
    Et aujourd’hui, à l’heure sombre pour la France, où les gens de rien, venus des pays d’outre-mer où même chez eux ils n’occupaient aucune position sociale respectée, pour la plupart d’entre eux, obligent la France à marcher sur la pointe des pieds dans sa propre demeure pour la faire s’excuser de son passé colonial ! A cette heure, dis-je, où tout espoir semble perdu, il y a des gens qui ont le courage de réviser leurs classiques et se demander si la renaissance royale ne saurait redorer le blason de la France.
    Nous en avons discuté avec le comte Jean d’Ogny qui continue de batailler ferme pour son droit et notre Dieu chrétien. Il fait de la résistance sur ses terres ancestrales et sauvegarde la tradition vivante à travers les fêtes médiévales qu’il accueille ensemble avec son ami Jean-Bernard Cahours d’Aspry chaque septembre au château de la Chapelle d’Angillon au nord de Bourges. Si vous êtes de passage sur ces terres à l’automne, faites un saut à la fête pour voir ce qu’était la France avant que l’on ne se mette à la ruiner.
    On a débattu avec le comte de l’histoire de France et du modèle monarchique applicable ou non au pays qu’est devenu l’Hexagone :
    Jean d’Ogny. La monarchie précisément est un système qui n’est peut-être pas le système parfait parce que sur terre rien n’est parfait, mais c’est de très loin le meilleur ou le moins mauvais ! Parce que la condition humaine veut qu’il y ait toujours des difficultés. Mais c’est en tout cas un principe de direction et du gouvernement qui appartient à l’ordre naturel, à l’histoire chrétienne. C’est un principe de pouvoir qui respecte non seulement l’ordre naturel mais aussi autre chose. On le voit dans tous les pays européens : ils dépendent de l’Europe. Et du coup on voit bien qu’on n’a plus de droits ! On est en dictature totale. Moi je suis pour l’autorité parce qu’il faut de l’autorité ! Mais une autorité qui soit dans le principe du respect de la subsidiarité. C’est tout à fait extraordinaire ! Aujourd’hui en France nous n’avons plus le droit de rouler, de boire, de fumer, de se baigner ! On n’a même plus le droit de manifester contre le pouvoir actuel ! Cette situation devient impossible. Nous souhaitons grandement pour la France qu’un jour l’esprit traditionnel avec la subsidiarité et donc l’esprit royal dans le jeu de l’ordre naturel se réveille ! Nous n’avons plus en France le droit de mourir. Il est interdit de rouler, de marcher, de faire tout ! Mais par ailleurs on a le droit pas de tuer mais d’avorter ! pas de mourir mais de tuer avec l’IVG, l’euthanasie, etc. Il y a beaucoup de contradictions ! Pour terminer je me rappelle très bien qu’au moment de Maastricht il y a l’Irlande, la France, bien sûr, et puis le Danemark aussi qui avaient voté : non ! On leur a dit : ‘Mais écoutez, les amis, si vous votez non, ce n’est pas démocratique ! On leur a reposé la question avec quelques avantages financiers d’organisation, et du coup l’Irlande et le Danemark ont voté oui !
    J’ai l’habitude de dire à des gens qui viennent visiter le château de la chapelle d’Angillon que les politiciens de l’Ancien Régime, les Colbert, les Vauban, les Sully, et beaucoup d’autres c’étaient les gens qui étaient truffés de défauts ! Parce que l’homme est évidemment truffé de défauts ! Comme les politiciens d’aujourd’hui qui sont truffés de défauts. Seulement l’énorme différence, c’est que les politiciens de l’Ancien Régime truffés de défauts comme les nôtres aujourd’hui s’occupaient des générations futures et travaillaient pour l’avenir et les générations futures ! Alors que les politiciens d’aujourd’hui ne travaillent qu’en fonction de la réélection ! (…) Ce sont toujours les femmes qui ont sauvé la France et l’Occident chrétien ! Et comme le dit l’historienne Régine Pernoux souvent dans l’ombre telle une mère de famille ! »
    Commentaires. En attendant les changements qui feront bouger la société française, de plus en plus moralement délabrée et apathique, je me suis mis à feuilleter les vieux bouquins d’histoire. Ensuite je suis tombé sur un tome de Lénine que les 90 % de Russes ne portent pas dans leur cœur. Le bon vieux Vladimir s’y connaissait en révolutions puisqu’il en a fomenté une. Il disait entre autres que les changements révolutionnaires deviennent inéluctables quand l’élite perd l’instinct du pouvoir et n’arrive plus à gouverner tandis que les masses ne veulent plus se soumettre. En France actuelle nous avons la pseudo-élite intellectuelle française devenue peu représentative par rapport au peuple dont elle se gausse presqu’ouvertement. Choisir une perverse et qui plus est une étrangère, une Ukrainienne comme le nouveau visage de la France équivaut à un crachat en pleine figure de la nation ! L’élite française n’est plus et les masses commencent à le comprendre. Quant au peuple qu’il soit français ou musulman, ni les uns, ni les autres ne veulent plus cohabiter de façon pacifique ! Quand je veux manger du porc et l’autre me l’interdit ou quand je veux prier et que les Français de souche s’en trouvent gênés, la cohabitation devient périlleuse et fragile. L’exemple d’une Yougoslavie émiettée le prouve de façon éloquente ; Rappelez-vous : l’ex-Yougoslavie est aux portes de la France. La Slovénie ne se trouve qu’à 200 kilomètres de Monaco. On ne peut que souhaiter beaucoup de courage au comte Jean d’Ogny qui attend la nouvelle Jeanne d’Arc ! Espérons que la France renaîtra de ses cendres !

    ENCORE UNE FOIS BRAVO AU FIGARO POUR SON MANQUE DE COURAGE

    DANS LE "FIG-MAG" DES 19 & 20 JUILLET 2013, UNE PHOTO TRÈS ÉDIFIANTE
    APPARAISSAIT EN DOUBLE PAGE, DANS LA RUBRIQUE 24 HEURES PHOTO
    MAIS, OH SURPRISE ! CETTE DERNIÈRE N'APPARAÎT PAS SUR LA "TOILE"
    LA VOICI, PHOTOGRAPHIÉE PAR MES SOINS, AVEC LE COMMENTAIRE QUI VA AVEC. 
    Avec un président à la ramasse dans les sondages, sifflé pendant sa descente 
    des champs Elysées, 
    un président premier au box-office 
    des bonimenteurs. 
    Les caméramans et les preneurs de son ont certainement voulu savoir 
    si par la voix d'en-bas 
    LA VÉRITÉ SORTIRAIT.

    Gloire au photographe qui a pris ce cliché mémorable, et Ô combien 
    clairvoyant !

    Un climat de plus en plus électrique

    Un climat de plus en plus électrique


    Certes les propos du député-maire de Cholet, l’UDI Gilles Bourdouleix, même s’ils ont été déclenchés par le comportement outrageant de Tsiganes sans gêne, installés illicitement sur sa commune, demeurent injustifiables. Surtout dans la bouche d’un élu de la nation. On ne plaisante pas, même sur le coup de l’énervement, avec les conséquences d’un génocide. Par leur violence radicale les paroles du député-maire ont donc soulevé une prévisible mais légitime réprobation. Même si malheureusement, de manière tout aussi prévisible, celle-ci a aussitôt été accaparée par les habituels maîtres censeurs de la bien-pensance.
    Les plus embêtés par cette déclaration exterminatrice sont, une fois n’est pas coutume, les dirigeants de l’UDI, dont Gilles Bourdouleix est l’un des vice-présidents. Des centristes plutôt habitués à jouer, d’habitude, les procureurs du politiquement correct et que leur vice-président, dont l’humour ne fait pas dans le détail, place aujourd’hui en position délicate. Jean-Louis Borloo, président du parti centriste, qui a eu besoin de prendre un remontant très corsé après avoir entendu la réflexion de son vice-président, a aussitôt réagi en demandant l’exclusion du coupable. « Quand les valeurs sont en cause, on coupe les branches mortes », a aussi déclaré de son côté l’ancien ministre Yves Jégo, qui appartient également à la direction de l’UDI. On « coupe les branches mortes » et on allume avec un grand bûcher de sorcières ? Perspective dont se soucie fort peu le principal intéressé, lynché depuis 48 heures par les médias… « Etre exclu ? Je n’en ai rien à foutre ! C’est pas Borloo qui m’a fait élire. ll fait ce qu’il veut. »
    Un notable centriste et provincial
    Gilles Bourdouleix, avocat de profession, a été élu maire de Cholet pour la première fois en juin 1995. Puis député de la 5e circonscription du Maine-et-Loire en 2002. Longtemps porte-parole du CNIP (Centre national des Indépendants et Paysans) Gilles Bourdouleix en est devenu le président en 2010. C’est d’ailleurs en tant que président du CNIP qu’il a participé, en 2012, à la fondation de l’UDI. Ce qui lui permet aujourd’hui de plastronner : « Le CNIP quitte l’UDI. » Pas de mouvement de masse en perspective certes, mais ce départ détricote un peu plus le parti de Jean-Louis Borloo, dont l’ambition était de réunir tous les centres droits.
    Le CNIP, ex-parti d’Antoine Pinay et de Valéry Giscard d’Estaing, se trouve d’ailleurs aujourd’hui accusé par l’aile gauche de l’UDI d’avoir dans le passé « trop flirté avec l’extrême droite ». Parti trop droitier pour certains centristes, mais qu’avait heureusement « recentré » Gilles Bourdouleix. Lequel s’est stupidement décentré d’une façon si fracassante que les vagues médiatiques continuent à mugir autour de lui, en attendant la tempête judiciaire.
    Mais derrière cet ouragan d’indignation il faudrait tout de même essayer de comprendre ce qui a conduit ce notable centriste à prononcer ces paroles condamnables. Le maire de Cholet se trouvait en discussion orageuse avec des Tsiganes qui une fois de plus occupaient illicitement un terrain privé auquel ils ne devaient pas avoir accès. Une fois de plus les squatters entendaient imposer par la force leur stationnement illicite, comme ils ont dorénavant coutume de le faire dans à peu près toutes les communes de France, au mépris du droit et de la loi.
    Si d’autres maires, tout aussi exaspérés, se résignent bon gré mal gré, faute du soutien de la justice et des pouvoirs publics, à constater leur impuissance, Gilles Bourdeleix avait décidé lui de déloger les intrus. Ce qui lui avait valu d’être couvert par ces derniers d’insultes, dont celle d’être un « nazi », avec saluts hitlériens à l’appui. Excédé, le maire injurié et malmené, reprenant au vol les images brunes que ces insulteurs lui lançaient au visage, aurait alors grommelé entre ses dents, d’une façon à peine audible mais suffisante pour être entendue (et enregistrée) par un journaliste présent : « comme quoi Hitler n’en a peut-être pas tué assez ». Gilles Bourdouleix s’était déjà affronté durement l’année dernière à des gens du voyage qui n’avaient pas hésité à le « bousculer » physiquement.
    L’autorité systématiquement bafouée
    Le même mépris de l’autorité bafouée, bafouée avec une arrogance cynique et agressive, a conduit aux graves incidents de Trappes. C’est sur ce même ton insolent qu’une jeune femme musulmane, lundi 22 juillet, a interpellé le ministre de l’Intérieur venu s’assurer que « le calme revenait à Trappes grâce à l’engagement des forces de police ». Une présence qui déplaît à cette habitante très remontée contre le ministre et sa police et à laquelle Manuel Valls avait répondu : « Il n’y a aucune excuse aux fauteurs de troubles. » Mais son interpellatrice pense le contraire et le proclame : « Il n’y a aucune excuse quand les forces de l’ordre interpellent les gens sans raison », a-t-elle répliqué.
    Cette virago musulmane, qui parle à un ministre français comme à un visiteur inopportun qui n’a rien à faire sur son « territoire », exprimait sans doute l’opinion dominante de ses coreligionnaires. Les forces de l’ordre n’ont à leurs yeux « aucune excuse » lorsqu’elles dérangent les délinquants ethniques dans leurs trafics et leurs incivilités. Leur seule présence perturbe le fonctionnement de cités de plus en plus affranchies des lois françaises. Comme le sont également les gens du voyage, notamment ceux d’origine étrangère.
    A Trappes, pour excuser les émeutiers, la presse de gauche a parlé d’un simple « coup de chaud » caniculaire. Une circonstance atténuante qui pourrait peut-être s’appliquer aussi au député maire de Cholet, nargué avec un cynisme révoltant par des individus décidés à bafouer la loi et l’autorité ?
    Une présence « urticante »
    « Les mots de la honte » titrait avec emphase Libération de mardi, essayant de faire, à travers une soi-disant « escalade de la haine », un amalgame tout aussi honteux avec l’initiative de Christian Estrosi qui appelait la semaine dernière « les maires de France à la révolte ». Mieux : la gauche n’hésite pas à faire remonter le début de cette « escalade » au discours prononcé le 30 juillet 2010 à Grenoble par Nicolas Sarkozy et dans lequel le président de la République d’alors rappelait à l’ordre les gens du voyage, notamment les Roms. Comme si la bourde délirante de Bourdaleix, maire chahuté par des Tsiganes batailleurs et menaçants, devait désormais interdire de la part des responsables politiques tout réflexe d’autorité vis-à-vis des gens du voyage, même lorsque ceux-ci adoptent des comportements de voyous, provocateurs, violents et indéfiniment récidivistes.
    Jean-Marie Le Pen, qui a toujours eu le sens du mot juste, a récemment parlé, à propos des Roms, « d’une présence urticante ». Si l’on en croit l’irruption de fièvre pourprée, aux effets brûlants de piqûres d’orties, que cette présence provoque chez beaucoup d’édiles, le diagnostic paraît pertinent. Chez Gilles Bourdeleix, le prurit a sans doute été plus intense que chez d’autres et a provoqué une courte montée de fièvre, suivie de quelques secondes de délire.
    Au-delà du député-maire de Cholet et ex-dirigeant du l’UDI, la question reste néanmoins posée : comment soigne-t-on cette affection dont se plaignent tant de municipalités françaises ? Avec quels moyens, quels remèdes vient-on à bout de cette épidémie ravageuse ?

    LA SOURCE EST DEVENUE LE RACISME QUE JE PARTAGE AVEC LA MAJORITÉ DES FRANÇAIS QUE JE CÔTOIE TOUS LES JOURS.

    Lisez donc ces extraits de 
    "La colonisation de l'europe"
    par Guillaume Faye


    C'est édifiant !


    22 citations pour avoir la pêche au travail

    Rob Kelly est un consultant et chef d’entreprise. Il a concocté un petit cocktail de citations encourageantes pour chacun :


    ✔ "Si les gens savaient à quel point je travaille pour obtenir ma maîtrise, elle ne leur semblerait pas si merveilleuse, après tout." - Michel-Ange
    ✔ "Qu'est-ce que vous essaieriez de faire si vous saviez que vous ne pouvez pas échouer." - Dr. Robert Schuller
    ✔ "Si nous faisions tout ce que nous sommes capables de faire, nous nous étonnerions." - Thomas A. Edison
    ✔ "Vous savez que vous êtes sur la voie du succès quand vous acceptez de faire votre travail, sans être payé pour cela." - Oprah Winfrey
    ✔ "Suivez votre bonheur et l'univers vous ouvrira des portes là où il y avait seulement des murs" - Joseph Campbell
    ✔ "Une entreprise doit être motivante. Elle doit être amusante. Et elle doit exercer votre instinct créatif "-. Richard Branson
    ✔ "Si vous avez un talent, utilisez-le de toutes les manières possibles. Ne l’accumulez pas. Ne le  distribuez pas au compte-gouttes comme un avare. Dépensez-le sans compter, comme un millionnaire qui voudrait faire faillite "-. Brendan Francis
    ✔ "Nous passons notre temps en quête de sécurité, et nous la détestons quand nous l’obtenons." - John Steinbeck
    ✔ "Je pense que chacun devrait faire l’expérience de la défaite au moins une fois au cours de sa carrière. On en apprend beaucoup. "- Lou Holtz
    ✔ "Le désir! C'est le secret de la carrière de chaque homme. Pas l'éducation. Ni d’être né avec des talents cachés. Le désir "-. Bobby Unser
    ✔ "L'accomplissement suprême est de brouiller la ligne entre travailler et jouer." - Arnold Toynbee
    ✔ "Ton travail est de découvrir ton travail et de tout ton cœur, de te donner à lui." - Bouddha
    ✔ "Vous êtes le plus heureux lorsque vous faites la plus grande contribution." - Robert F. Kennedy
    ✔ "Aimer ce que l'on fait et avoir le sentiment que cela compte... Quelque chose peut-il être plus amusant?" - Katharine Graham
    ✔ "La plupart du temps de la première partie d’une carrière d'acteur, vous prenez les emplois que l’on vous donne." - Jack Nicholson
    ✔ "Prenez plus de risques avec ce que les autres imaginent être sûr. Attachez plus d’importance à ce que les autres pensent être sage. Rêvez au-delà de ce que les autres estiment être pratique. Attendez-vous à plus que ce que les autres pensent possible "-. Cadets Maxim
    ✔ "Je sais une chose: les seuls d’entre vous qui seront vraiment heureux seront ceux qui auront cherché et trouvé la manière de servir." - Albert Schweitzer
    ✔ "J'ai raté plus de 9000 lancers dans ma carrière. J'ai perdu près de 300 matches. 26 fois, on avait confiance en moi pour faire un lancer gagnant et j’ai échoué. J'ai échoué à plusieurs reprises, encore et encore dans ma vie. Et c'est pourquoi je réussis "-. Michael Jordan
    ✔ "Tenez-vous à l'écart des gens qui essaient de minimiser vos ambitions. Les minables font toujours ça, mais les personnes vraiment brillantes vous font sentir que vous aussi, vous pouvez devenir brillant "-. Mark Twain
    ✔ "Les réalisations sont en grande partie le produit de l’élévation constante des niveaux d’aspirations et d’attentes de chacun." - Jack Nicklaus
    ✔ "Si vous devez subvenir à vos besoins, vous feriez sacrément mieux de faire quelque chose d’intéressant." - Katherine Hepburn
    ✔ "Ne gardez pas un travail que vous n’aimez pas. Quand vous serez heureux dans ce que vous faites, vous vous aimerez, vous ressentirez une paix intérieure. Et quand vous l’aurez, avec la santé physique, vous aurez plus de succès que vous n’auriez pu l’imaginer "-. Roger Caras

    Pour la première fois depuis 1879, le Mont-Saint-Michel est redevenu une île

    Ce n'était pas arrivé depuis 1879. Avec la marée coefficient 108 mercredi soir, le Mont-Saint-Michel a été entièrement entouré d'eau pendant une vingtaine de minutes. Une prouesse permise grâce aux travaux de septembre 2012.


    La Merveille entièrement entourée d'eau. P
    lusieurs centaines de personnes ont assisté mercredi soir à une grande marée qui a entièrement entouré le rocher. Cette première depuis 1879 préfigure le retour à l'insularité du Mont-Saint-Michel. "Pour la première fois depuis bien longtemps nous allons voir la mer ceinturer le Mont", s'est réjoui une demi-heure avant l'événement Laurent Beauvais, président de la région Basse-Normandie, à l'origine des travaux pour que la Merveille retrouve son insularité.
    Ce mercredi 24 juillet a revêtu un caractère symbolique lorsque l'eau de cette marée de coefficient 108 a lentement recouvert la déviation provisoire menant au Mont, à côté de la passerelle inachevée. Mais le morceau de digue-route gâchait encore fortement le plaisir des curieux. "Le Mont, il ne peut pas faire une île, il y a toujours la digue ici", lâche ainsi Franck, venu d'Ille-et-Vilaine avec sa mère et son frère pour admirer l'événement. Il ne tarit cependant pas d'éloges sur les travaux en cours et en attend avec impatience la fin. "C'est bien pour l'avenir", assure-t-il.
    "Une démonstration a minima"
    Pendant une vingtaine de minutes vers 21h30 l'accès au Mont a ainsi été interdit à tous, en attendant que l'eau se décide à se retirer. Un spectacle sous le soleil couchant qui a laissé béat un couple d'amoureux venus d'Italie. Ils ne se sont aperçus de la montée de l'eau qu'au moment où la mer est venue lécher leurs pieds. La mer a pu enfin entourer le Mont-Saint-Michel grâce en partie aux travaux de septembre 2012 qui avaient permis de détruire une partie de l'ancienne digue-route construite en 1879.
    Cela restait néanmoins "une démonstration a minima", a prévenu M. Beauvais, attendant de pied ferme la fin des travaux prévue au printemps 2015 et surtout une grande marée de coefficient 119 attendue en février 2015. Désormais il reste à relier la nouvelle passerelle au Mont, puis à détruire le reste de la digue-route, ce qui est prévu pour fin 2014. A terme le Mont devrait retrouver son insularité entre 50 et 90 fois par an. Le coût du projet, qui a subi de nombreuses critiques, notamment en raison de la création d'un nouveau parking distant de 2,5 km du Mont, est évalué à 230 millions d'euros dont 184 millions d'investissements publics directs.
    Classé au patrimoine mondial de l'Unesco en 1979, le Mont-Saint-Michel accueille environ 2,5 millions de visiteurs par an.