TOUT EST DIT

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mercredi 10 juillet 2013

Les prouesses mathématiques du FMI: 'Une absence totale d'idée concernant les perspectives d'avenir'


Au début du mois de Juin, le Fonds monétaire international (FMI) a reconnu publiquement d’avoir gravement sous-estimé l'impact des mesures d’austérité sur l'économie grecque. Il a reconnu qu’il s’était beaucoup trompé concernant l’évolution de la dette grecque, et qu’il s’était montré bien trop optimiste dans ses calculs concernant l’économie grecque, sous-estimant les difficultés réelles. « Il y a eu (...) des échecs flagrants. La confiance des marchés n'a pas été rétablie (...) et l'économie a été confrontée à une récession bien plus forte que prévu », a-t-il admis dans son rapport.
Mardi, l’Institution a revu ses prévisions de croissance pour l'économie mondiale, en raison d’un tassement dans la croissance des pays émergents.
Le blog financier Zéro Hedge s’est amusé à reprendre différentes prévisions successives du FMI et les a reportées sur un graphique pour révéler les capacités prédictives de l'organisation. Il apparait que le FMI a continuellement fait montre d’un trop grand optimisme sur presque tous les indicateurs - que ce soit ceux de la Grèce, de l’Europe, de la Chine, des États-Unis ou de l'économie mondiale.
«Nous avons compilé les données résultantes hilarantes dans les graphiques ci-dessous montrant que le FMI n'a aucune idée de ce que pourraient être les perspectives d’avenir », écrit le blog. « Les commentaires ne sont pas nécessaires ».
Sur les graphiques, la ligne noire représente les dernières prévisions établies par l’institution, les autres couleurs, celles qui avaient été établies successivement au cours des 18 derniers mois :
1/ La croissance en Chine:
2/ La croissance en Europe:
3/ La croissance dans le monde:
4/ La croissance du commerce mondial :
5/ La croissance aux Etats-Unis:
6/ Le FMI a également participé aux prévisions de la Troïka concernant la Grèce, que nous avons déjà présentées sur ce site:

Paris : Juppé conseille "le renouvellement" à NKM


La candidate à la mairie de Paris Nathalie Kosciusko-Morizet a rendu visite mardi au maire de Bordeaux Alain Juppé, lui aussi en campagne pour les municipales.
Deux anciens ministres aujourd’hui dans l’opposition, des tapas, quelques verres de rosé pour rafraîchir une journée étouffante, des paroles aimables. Un peu plus loin, la Garonne coule sous le nouveau pont Chaban-Delmas. L’été en pente douce? L’image est trompeuse. L'homme et la femme qui devisent ce mardi à l'ombre de la toile d'un restaurant bordelais de plein air, portent chacun, Alain Juppé à Bordeaux et Nathalie Kosciusko-Morizet à Paris, une part importante des espoirs de leur famille politique pour mars 2014.
Personne ne croit Alain Juppé sérieusement menacé dans la ville qui l'a élu pour la première fois en 1995. "Il ne faut pas s’endormir", assure quand même l’ancien Premier ministre qui craint une poussée du FN. Il connait bien le candidat du parti d’extrême droite, Jacques Colombier, un ancien membre de son conseil municipal. "Je ne le sous-estime pas, poursuit le maire de Bordeaux. C’est un homme intelligent." Qui pourrait l'empêcher de réitérer sa performance de 2008 : une ré-élection dès le premier tour avec plus de 56% des voix.
A ses côtés, Nathalie Kosciusko-Morizet lui rend visite ce jour-là dans le cadre de ses déplacements mensuels en région. "Bordeaux et Alain sont une source d’inspiration," explique-t-elle, évoquant la "transfiguration" de la capitale d’Aquitaine, "la manière dont la ville a reconquis son fleuve". "À Bordeaux, Alain Juppé n'a pas une étiquette droite gauche, c'est d'abord un maire qui joue la proximité, qui a su faire de l'intégration de déplacements doux, sans que les automobilistes aient l'impression d'être rejetés", abonde-t-on dans l'entourage de la candidate.

"Paris, c'est faisable"

Au fil du temps passé dans le même gouvernement, ces deux animaux politiques qui se connaissaient mal se sont apprivoisés. Ils se retrouvent aujourd’hui, au sein de l’UMP, sur la même ligne modérée. Pendant la difficile campagne pour la primaire ouverte à droite, le Bordelais avait soutenu sans réserve la Parisienne. "Vas-y Nathalie, pour Paris, tu es la meilleure", avait-il même tweetéalors que la Droite Forte voulait la faire trébucher. "Elle a remporté une belle victoire à la primaire et elle a toutes ses chances de gagner Paris", lance-t-il en ce mardi, ajoutant à l’attention de sa voisine de table: "On te soutiendra, de loin ou de près."
Celui qui est aussi un ancien élu de Paris précise son propos peu plus tard : "Paris, c’est faisable, mais le problème c’est les arrondissements. Pour les têtes de liste, je conseille le renouvellement!" La semaine dernière, NKM a annoncé qu’elle allait se présenter dans le 14e arrondissement de Paris. Depuis les esprits s’échauffent : une liste dissidente dans le 14e, Charles Beigbeder qui se positionne dans le 12e… La candidate prend le parti de s’en amuser : "Je devrais en envoyer ici la semaine pour les calmer."

Juppé à propos de Sarkozy : "Trois ans en politique, c'est une éternité"

La veille, tous les deux étaient assis au même rang, lui l’ancien ministre des Affaires étrangères de Nicolas Sarkozy, et elle son ancienne porte-parole, à écouter l’ancien chef de l’Etat s’exprimer devant le bureau politique de l’UMP. Là encore, ils partagent la même analyse : ce n’est pas un retour politique. "Il n’allait pas nous parler des taux d’emprunt. C’est un ancien président de la République!", lance la députée de l’Essonne. De son côté, Juppé temporise : "Trois ans en politique, c’est une éternité."
Dans la salle du BP, certains se sont émus de ne pas avoir vu trois anciens Premiers ministres, Juppé, Balladur et Fillon, se lever pour applaudir la fin du discours de Nicolas Sarkozy. Juppé s’en explique : "A ce moment là, il n’avait pas fini son discours et il faisait des gestes de la main pour nous dire qu’il allait continuer", assure celui qui se félicite d’avoir entendu Nicolas Sarkozy "mettre l’accent sur l’enjeu européen". Le président-fondateur de l’UMP s’inquiète en effet du peu d’intérêt que suscitent pour le moment les élections européennes dans sa famille politique.  "Récemment, j’ai discuté avec un universitaire qui s’alarmait avec raison : 'Que se passe-t-il si les partis anti-européens deviennent majoritaires au Parlement?' Nous sommes tous dans les municipales, cela me préoccupe. J’ai peur que nous ne soyons pas prêts pour les européennes." A ses côtés, NKM l’écoute attentivement.
A les voir tous les deux, un journaliste s’emballe et tente d’accélérer le cours du temps : "Quand vous serez président de la République, elle sera votre Premier ministre?" Juppé s’amuse : "Non, je la soutiendrai pour la primaire!"

Les deniers du culte

Les deniers du culte


Ils sont quand même drôlement sympas, les militants et amis de l'UMP. Hier, à l'occasion d'une réunion dans le Doubs, Jean-François Copé a annoncé que plus de 2 millions d'euros avaient déjà été collectés sur les 11 que va devoir verser le parti après l'invalidation des comptes de campagne 2012 de Nicolas Sarkozy. Quel bel acte de foi militant ! Imaginez qu'au cours des derniers mois, les encartés de l'UMP ont d'abord été sollicités pour élire le président du parti lors d'une dantesque primaire truquée. Imaginez qu'ensuite, après leur avoir laissé entrevoir l'hypothèse d'un nouveau vote, on leur a demandé de valider un scrutin entaché par la triche.
Et voici qu'aujourd'hui, ils mettent la main à la poche pour payer des erreurs de comptes de campagne. On se félicitera que des citoyens se sentent concernés par le pluralisme démocratique et volent au secours d'un parti menacé de liquidation. Le problème est que cette opération « survie » s'est accompagnée d'un « cinéma » qui vise plus à la promotion de Nicolas Sarkozy qu'à celle de l'UMP.
À la Fête de la violette, samedi dans le Loir-et-Cher, les participants ont surtout fait don de leur ferveur envers Nicolas Sarkozy, avec Copé comme agent d'ambiance. En somme, l'UMP c'est Sarko, et rien que Sarko, après les luttes qui ont discrédité ses concurrents internes. Tel est le tour de force réussi par Nicolas Sarkozy. Sa stratégie de victimisation lui a permis d'échapper à toute analyse critique sur son bilan.
Aujourd'hui, pour son retour devant un bureau politique extraordinaire de l'UMP, l'ex-chef de l'État viendra apporter son écot mais, nous dit-on, ne fera pas de politique. Qui le croira alors que la machine se met en marche ? Certes, Nicolas Sarkozy évitera de parler de « règle d'or » dans la calamiteuse gestion financière de l'UMP. Il ne parlera pas davantage des imprudences qu'il a commises. Il sera là seulement pour montrer que l'UMP, sans lui, souffre cruellement de l'absence d'un chef et inciter, du coup, au versement de ce qui prend l'allure de deniers… du culte.

Le futur incertain

Le futur incertain


Engager une phase de dépassement pour permettre de changer de modèle et de vivre mieux, tel était l'objectif qu'avait assigné François Hollande à Jean-Marc Ayrault le 6 mai dernier lors d'un séminaire gouvernemental. Objectif pour le moins ambitieux, sinon utopique, consistant à investir plus tout en dépensant moins. Hier, le Premier ministre s'est donc attaché à répondre à cette volonté élyséenne en présentant son plan d'investissements d'avenir doté de 12 milliards d'euros sur les dix prochaines années. On rendra grâce à Jean-Marc Ayrault d'avoir tenté de tenir cette gageure au moment où le creusement de nos déficits s'accentue.
Mais sans doute est-ce le moment où jamais de stimuler notre machine industrielle en totale perte de vitesse. Il convient de souligner que le Premier ministre s'est employé à ne surtout pas insulter l'avenir. Il y a, dans le plan qu'il a décliné à l'université Jussieu, une évidente volonté de relance économique assortie d'une non moins patente préoccupation politicienne. En soulignant avec insistance que la moitié des investissements d'avenir serait consacrée à la transition écologique, Jean-Marc Ayrault a voulu gommer « l'effet Batho ».
Même s'ils attendent d'autres gestes, les écologistes n'auront pas été insensibles à ce signal vert. Au fond, le gouvernement n'en finit pas de se mouvoir sur une étroite ligne de crête. Si, sur un plan général il n'y a rien à redire, bien au contraire, sur le choix des grandes filières retenues, il reste à s'interroger sur la viabilité financière des projets.
Le gouvernement, qui n'entend pas alourdir la dette, va procéder à des cessions d'actifs et n'engagera les crédits qu'avec parcimonie sur des dossiers dûment validés. Reste à mesurer l'impact d'un plan dont les effets seront dilués dans le temps. L'effort de compétitivité pourrait être entravé par des mesures contradictoires, telles que des prélèvements supplémentaires pour les entreprises, et nos lourdeurs structurelles. Certes, Jean-Marc Ayrault n'a pas insulté l'avenir, mais nous restons toutefois devant un futur très incertain.

L’homme des casernes va devoir évoluer

L’homme des casernes va devoir évoluer


La suppression de 54 000 postes, c’était une réforme. 24 000 de plus, ça pourrait être une révolution. Au cabinet du ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, on préfère parler d’"évolutions" et de "rapide mise en œuvre de changements". Et ainsi déminer un terrain socialement délicat.
On connaîtra le détail de la LPM d’ici au 2 août, date du dernier conseil des ministres avant la trêve estivale. Mais Jean-Yves Le Drian a déjà pris des décisions suite à une année de travaux sur cinq chantiers : la gestion des ressources humaines, l’organisation de la chaîne financière, l’organisation des soutiens via les bases de défense (dont le nombre pourrait marginalement décroître), les relations internationales et la fonction communication.
Objectifs : "recentrage sur le cœur de métier", "suppression des doublons", "amélioration de la qualité des services". Et plus prosaïquement suppression de 16 000 postes (les 8 000 autres le seront dans les unités opérationnelles). Traduction pratique: 20 % des postes en moins dans les soutiens (avec suppression des états-majors de soutien défense par exemple), 10 % à 20 % des postes supprimés dans les RH, 100 postes grignotés dans les relations internationales, un tiers des postes de communicants sacrifié… Il faut tailler dans les effectifs et réduire la masse salariale, le fameux titre II qui, en 2012, a augmenté de 2,8 % alors que les effectifs du ministère baissaient de 2,3 % !
Deux autres chantiers sont toujours en cours : le maintien en condition opérationnelle (MCO) et le haut commandement militaire. Du côté du MCO, l’équation est simple : le budget actuel de 6,2 milliards d’euros (20 % des crédits du ministère) va exploser, que l’on donne la priorité au matériel ancien de plus en plus cher à maintenir en vie, ou que l’on favorise les matériels récents, encore plus gourmands en maintenance de très haut niveau technologique. "La reprise en main est impérative", quitte à demander aux prestataires de baisser "sensiblement" leurs marges.
Le sort du haut commandement n’est pas réglé. Le rééquilibrage entre le politique et l’état-major des armées a donné lieu à quelques grincements de dents ; d’autres sont à venir puisque la question du dé-pyramidage est posée. Le taux d’encadrement est passé de 14,8 % en 2008 à 17 %, suite à la réforme de 2008 et à l’allongement de deux années du temps de service. L’objectif est de redescendre à 16 %, voire moins… "Avec des mesures d’aide au départ" et, pourquoi pas une prolongation du temps dans chaque grade, une diminution du recrutement des officiers et donc du nombre des élèves officiers dans les écoles.
Le ministre n’a pas retenu les "évolutions les plus radicales". Mais il prévient : "Si nous ne parvenions pas à atteindre les objectifs qui s’imposent à nous, je ne pourrais que revoir ces orientations".

Qui veut de lui ?

Qui veut de lui ?


Le phénomène de démultiplication ne s’applique pas seulement en physique, mais aussi en politique. Il suffit d’une petite phrase de Sarkozy sur Facebook pour que la machine — y compris médiatique — se mette en marche. Au point que le retour de l’homme providentiel se transforme moins en hypothèse qu’en évidence. Au point que la Fête de la violette samedi à la Ferté-Imbault s’est muée en Fête de Sarko. Il n’y était pas présent, mais omniprésent.

Aujourd’hui, toutes les caméras vont immortaliser son arrivée au bureau politique de l’UMP. Sarkozy revient… mais est-ce « le » retour ? Et d’ailleurs, qui souhaite véritablement son retour ? Selon un sondage, trois Français sur cinq ne le veulent pas. Ni les électeurs de gauche, ni les écolos ni ceux du FN, cela va de soi. Alors sans doute les militants de la droite forte qui font bloc derrière lui. Quoi de surprenant de la part de ceux qui se sont toujours réjouis d’une certaine droitisation de la politique menée par l’ancien chef de l’État ?
Mais sinon ? Certes, Jean-François Copé ne se prive pas de saluer celui « qui est dans notre cœur, sans cesse auprès de nous ». Mais qui peut imaginer un seul instant que l’actuel président de l’UMP ne se voit pas un avenir élyséen ? Et qu’un retour de Sarkozy serait pour lui un obstacle difficile à surmonter ? De même pour François Fillon et ses troupes d’une droite sociale. Se hasardant à une esquisse de bilan du précédent quinquennat, il a notamment évoqué ses divergences de vue sur l’évaluation de la crise, l’immigration et le Front national. Le coup de barre à droite n’a pas été de son goût. Comment dans ces conditions pourrait-il soutenir son ancien patron et faire une croix sur ses prétentions nationales.
Pour leur part, les militants de l’UMP souhaitent à 80 % que Sarkozy soit candidat à la prochaine élection présidentielle. Ces mêmes militants qui, lors de la guerre des chefs pour la présidence de l’UMP, juraient fidélité à leur héraut pour les porter… jusqu’au Palais.
Cela confirme au moins que deux mots ne doivent pas être utilisés en politique : jamais et toujours. D’ici à 2017, la route est encore longue. Seule (quasi) certitude à ce jour : 
si Nicolas Sarkozy décide de revenir sur la scène politique, ce n’est certainement pas pour diriger l’UMP.

Et si on arrêtait de nous vendre un islam bisounours ?

Et si on arrêtait de nous vendre un islam bisounours ?


Cette question, je me la suis posée récemment au détour d’un “  drame familial ” sordide : à Saint-Paul-les-Trois-Châteaux, Abdelkrim el-Kardaoui a tué sa femme – 47 coups de couteau, pas moins – et ses trois enfants âgés de 2 à 8 ans. De tels actes ne sont bien évidemment pas l’apanage d’une catégorie sociale, raciale, religieuse.
Mais ce qui mérite qu’on s’arrête à ce tragique fait divers, c’est une réflexion de Habiba Kabdani, mère et grand-mère des victimes. On lui a pris sa fille et ses petits-enfants. Elle a droit à toute notre compassion. Mais on ne peut que broncher quand, à la question d’un journaliste du Parisien : “ Redoutiez-vous que votre gendre tue vos petits-enfants ? ”, elle répond : “ Je me suis dit qu’il allait peut-être les épargner. Chez les musulmans, on ne touche pas aux enfants ! ”
Une assertion pour le moins aventurée, mais qui ne fait pas réagir (même par le biais d’une note dubitative) l’intervieweur. “ Chez les musulmans, on ne touche pas aux enfants ” ? Depuis quand ? Je sais bien qu’à chaque fois que des islamo-terroristes se livrent à des abominations on a droit aux médias dhimmis qui nous font le coup du “ pas d’amalgame ” et qui ouvrent leurs ondes et leurs colonnes à des imams qui expliquent – sans jamais être contredits – que l’islam est une religion d’amour, de paix et de tolérance. Une religion dont les adeptes ne touchent pas aux enfants…
Récemment, nous relations le martyre d’un jeune Syrien, âgé de 15 ans, abattu en public de deux balles dans la tête pour avoir fait une blague jugée blasphématoire par des islamistes ne se réclamant de rien d’autre que de l’islam.
Je ne voudrais pas remonter aux calendes, mais j’invite les chantres d’un islam bisounours à se reporter à mon livre, Torture, vous avez dit torture ? (Editions BS/Atelier Fol’Fer, 2001), où j’énumère – photos difficiles à l’appui – les massacres d’enfants – de toutes origines – pendant les événements d’Algérie. Des femmes enceintes éventrées pour leur arracher les bébés à naître. Des nouveaux nés le crâne fracassé contre des murs. Des petits enfants (2 mois, 1 an, 3 ans, 5 ans, 7 ans) égorgés d’une oreille à l’autre.
On me dira : “ C’était hier ”. Eh bien, parlons d’aujourd’hui. Un livre entier ne suffirait pas à énumérer toutes les petites victimes d’islamistes à qui l’on n’a sans doute pas expliqué que “ chez les musulmans, on ne touche pas aux enfants ”… Et je tiens à la disposition des chantres du “ pas d’amalgame ” des dizaines de vidéos – mais il faut avoir le cœur bien accroché pour les visionner – qui montrent de quoi sont capables les fous d’Allah.
Une gamine décapitée par un musulman en Inde (avril 2013). Trois écolières chrétiennes décapitées par des musulmans en Indonésie (octobre 2005). Des enfants chrétiens brûlés vifs par des islamistes dans le nord du Nigeria. Mohamed Merah assassinant de sang-froid des bambins. Un jeune Tunisien converti au christianisme égorgé puis décapité par des islamistes. Des fillettes lapidées au nom de la charia. Etc. “ Chez les musulmans, on ne touche pas aux enfants ” ?