TOUT EST DIT

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vendredi 1 mars 2013

La CGT : 117 ans de manipulation prolétarienne


« La CGT, c’est le Cancer Général du Travail ; encore que Krasucki dit que c’est faux, parce que le cancer évolue, et pas la CGT ! », racontait Coluche.
Trente ans plus tard, cette boutade reste d’actualité tant ce syndicat donne l’impression de faire un pied de nez au darwinisme.
Son horloge interne s’est arrêtée à la fin du XIXe siècle, lorsqu’il était question de pendre le dernier patron avec les boyaux du dernier contremaître.
De sa naissance en 1895 aux dernières manifestations de l’automne 2012, la Confédération générale du travail alias « La Cégète » a toujours été un syndicat primaire préférant l’affrontement au dialogue, le sabordage au compromis.
Mais aussi…
- De la défense des ouvriers à celle des immigrés : un siècle de manipulation prolétarienne.
- Avec Thierry Lepaon, les cocos sont toujours aux manettes.
- Le 1er syndicat de France.
- L’énigmatique Monsieur Thibault.
- Thibault et Sarko : « Je t’aime, moi non plus ».
- L’argent du grand frère soviétique.
- Jean-Luc Touly : « Le syndicalisme doit jouer son rôle dans l’indépendance et la transparence ».
Quand la CGT tue nos emplois
Le chimiste Arkema a renoncé, mi-novembre dernier, à investir 70M€ dans son usine de Pierre-Bénite dans le Rhône. Le motif ? Une minorité de salariés menés par la CGT ne voulait pas du projet. La punition ? Arkema va investir cette somme sur des sites de production en Chine ou aux Etats-Unis. A terme, l’usine, qui perd de l’argent, est menacée.
Lip, Manufrance, Moulinex, Continental …
On ne compte plus les entreprises révolvérisées, victimes des coups de boutoir du tueur en série de l’économie française qu’est la CGT.
Et quand le syndicat ne bloque pas les usines, c’est par des manifestations de rue que les cégétistes paralysent le pays, à en faire rougir de honte les communistes chinois…
Mais aussi…
- C’est l’économie française qu’on assassine.
- Le Syndicat du Livre : monopole, bonnes combines et gros sous.
- Grèves : le PC chinois vilipende la CGT.
- Comment la CGT a coulé le port de Marseille.
- La CGT patron voyou.
Un syndicat assis sur un tas d’or
La CGT donne des leçons de capitalisme, mais pas celles auxquelles on pouvait s’attendre. Car en regardant de plus près les comptes de la Confédération et de ses satellites, on découvre que le syndicat dispose d’une réserve financière de 82 millions d’euros dont 41 M€ en placements.
Qui dit placement financier, dit excédent d’argent que l’on chercher à optimiser. On est loin du discours proféré sur des banderoles dans la rue ou sur les barricades syndicales bloquant des entreprises dont le cours en bourse fait monter la valeur des placements de la CGT !
Quelle malhonnêteté intellectuelle de la part de ce syndicat que de faire croire aux Français que le capitalisme qui les nourrit est la racine du mal, quand ledit syndicat fait le contraire de ce qu’il prône !
Et ce, d’autant plus qu’une bonne part de cet argent provient de subventions publiques, c’est-à-dire de la poche du contribuable…
Mais aussi…
- D’où vient le pactole ?
- Sondage : un Français sur deux souhaite que les syndicats vivent uniquement de leurs cotisations.
- Le rapport interdit de Nicolas Perruchot.
- Quand la CGT joue plus de 40 millions en bourse.
- La gamelle du paritarisme.
- « CoGétise » ou comment détourner les cotisations des adhérents.
- Un milliard pour les syndicats de la fonction publique.
- Les contribuables font annuler une subvention.
- Montreuil, son univers impitoyable.
- Jérôme Dubus : « Delanoë chouchoute la CGT ».
Le scandale des comités d’entreprise
SNCF, RATP, EDF-GDF, Air France : ces places fortes de la CGT que sont les comités d’entreprise de la sphère publique lui ont permis de toucher le gros lot. Ces CE aux effectifs pléthoriques sont financés sur le dos de l’usager et du contribuable.
Saviez-vous qu’1 % de votre facture de gaz et d’électricité va dans les poches du comité d’entreprise EDF-GDF géré par la CGT ? Lequel CE n’a pas les braies très propres : un procès va bientôt s’ouvrir.
Au comité de la SNCF, tenu de longue date par la CGT, la Centrale aime à se donner des airs de Madone des Sleepings et convie les autres syndicats à goûter à la soupe de l’argent facile.
Et c’est sans parler du CE de la RATP où, faisant fi des recommandations de la Cour des comptes, nos syndicalistes jouent à grands frais les duchesses dans leur château du XVIIe siècle, en Vallée de Chevreuse : un parc magnifique de 74 hectares, trois courts de tennis, un mini-golf, un étang à truites…
Cette somptueuse datcha, réplique d’un château de la Loire, appartient à la CGT !
Le ministre du Logement Cécile Duflot veut réquisitionner les locaux de l’Eglise catholique qui fait déjà tant pour les pauvres en France. Qu’elle s’occupe plutôt de loger les sans-abris dans le château de la CGT !
Mais aussi…
- Le train de vie délictueux du CE de la SNCF.
- Les bonnes affaires du salon de Montreuil.
- Fraudes à gogo à la CGT-RATP.
- Le trésor de guerre du comité d’entreprise EDF-GDF.
- Gabegie et faillite à Air France.
- Hédy Sellami : « L’argent de la CGT, un scandale d’État »
- Au cœur d’une manif.
- La CGT et la CFDT interdisent la création d’autres syndicats.
- Eloi : « Bons baisers de la CGT ! »
Dossiers du Contribuable n°10 «Enquête sur la CGT», décembre 2012 – 68 pages, 4,50 €.
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Moscou-Paris : cap sur le rapprochement

Le président russe Vladimir Poutine a eu le 28 février au Kremlin les pourparlers avec son homologue français François Hollande. Les deux leaders ont examiné en détail la coopération économique et culturelle ainsi que la situation en Afrique du Nord.
Ecouter

C’est la première visite de travail de François Hollande dans la capitale russe. Les deux présidents s’étaient entretenus précédemment en juin dernier à Paris. Les parties ont réaffirmé le contenu traditionnel et la diversifié des relations bilatérales. La Russie et la France mettent en œuvre toute une série de projets fructueux dans le secteur énergétique, les constructions mécaniques, les transports, la médecine et l’écologie. Les liens culturels et humanitaires sont aussi très intenses. Il est prévu d’organiser les Années croisées du cinéma et du théâtre.
Les interlocuteurs ont donné la priorité à l’économie. Selon Vladimir Poutine, le chiffre d’affaires du commerce russo-français a baissé en 2012 en raison des problèmes dans l’économie mondiale. Néanmoins, il atteint près de 25 milliards de dollars. Les deux pays ont accumulé les investissements réciproques. Cependant, il existe un déséquilibre. Ainsi, les capitaux placés dans l’économie russe ont dépassé 9 milliards de dollars, alors que les investissements russes sont sensiblement en retard : moins de 200 millions. Les deux pays mettront à profit toutes sortes d’instruments pour supprimer cette disproportion. Qui plus est, selon le leader russe, les interlocuteurs ont abordé les relations Russie-UE.
« La Russie participe à l’aide internationale apportée aux économies en crise, aux efforts collectifs sous l’égide du FMI en vue de régler les problèmes économiques globaux. Nous entendons coopérer étroitement avec la France dans le cadre de la présidence de la Russie au G20. Il est constaté que l’annulation du régime de visas avec l’UE contribuerait à promouvoir le business russo-français ».
François Hollande s’est exprimé prudemment sur l’annulation des visas. Il est favorable à la simplification de procédure de délivrance des visas. Quant aux problèmes internationaux urgents, le leader français a exprimé sa reconnaissance à la Russie pour sa contribution au retrait du contingent français d’Afghanistan terminé en 2012 et pour le soutien de Moscou à l’intervention la France au Mali. Un progrès a été enregistré dans l’examen du problème syrien, a déclaré François Hollande.
« Notre objectif commun consiste à lutter contre le terrorisme et à prévenir la désintégration du pays. Certes, nos positions divergent sur les moyens d’assurer le dialogue politique. Nous estimons un tel dialogue impossible en coopération avec Bachar al-Assad. D’autres parties le considèrent comme le représentant du peuple syrien avec qui le dialogue est possible ».
Ainsi, tout en adoptant une conception stratégique commune concernant l’avenir de la Syrie en tant qu’Etat uni et pacifique, Moscou et Paris sont toujours en quête de compromis politique au sujet du sort de Bachar al-Assad.
Les parties ont procédé à un échange d’expérience dans la lutte contre le narcotrafic, évoqué le chantier olympique à Sotchi et les préparatifs du Championnat du monde de football en 2018. Les deux présidents ont signé des mémorandums et des accords dans les hautes technologies, l’exploration de l’Espace, les transports et les investissements directs. Le président français a promis d’accélérer la fondation d’un Centre culturel orthodoxe russe à Paris et la partie russe a cédé à bail des superficies supplémentaires pour le Lycée français Alexandre Dumas de Moscou. T

Cinquante nuances de DSK

Cinquante nuances de DSK


« Tu étais vieux, tu étais gros, tu étais petit et tu étais moche. Tu étais machiste, tu étais vulgaire, tu étais insensible et tu étais mesquin. Tu étais égoïste, tu étais brutal et tu n’avais aucune culture. Et j’ai été folle de toi. »
Alléchante, l’accroche du livre de Marcela Iacub ! Elle a bénéficié d’une incroyable publicité faite par deux grands journaux de la conscience de gauche (Libération et Le Nouvel Observateur) qui après avoir porté le ténor socialiste dans son ascension et soigneusement caché ses tares, enfonce désormais DSK dans sa fange avec un acharnement compulsif (et intéressé en termes de ventes).
La suite du bouquin recense par le menu la liaison (de janvier à août 2012) que cette « intellectuelle de renom », à mi-chemin entre Christine Angot (Marché des amants, le récit de sa liaison avec Doc Gynéco) et Marie Darrieussecq (Truismes, dans lequel son héroïne se transforme petit à petit en truie), a entretenue avec son « prince des gorets », son « empereur des cochons », son « roi des porcs ». Après le cheval dans les lasagnes, le minerai de porc dans le DSK.
Tandis que le monde entier après l’affaire du Sofitel fustige l’ancien directeur général du FMI, Marcela Iacub le défend bec et ongles dans trois chroniques publiées dans Libération… Puis dans un livre, Une société de violeurs ? Au terme de leur liaison, Marcela Iacub décide de faire de son « expérience » avec DSK un livre à succès : Belle et Bête.
« Où est la morale là-dedans ? » s’indigne Strauss-Kahn – qui s’y connaît – en demandant l’interdiction du bouquin.
Le Nouvel Observateur de l’hypocrite Laurent Joffrin battra pour sa part tous les records de faul-culterie (et de vente) en publiant en chapeau du grand entretien qu’il accorde à Marcela Iacub (couverture en une) la phrase suivante : « L’histoire d’amour qu’elle a vécue pendant sept mois ne regarde qu’elle et l’homme qu’elle a aimé. » En effet !
Au final Strauss-Kahn vient d’obtenir la publication d’un encart dans chaque exemplaire du livre, la condamnation de son ex-maîtresse et de l’éditeur Stock à 50 000 euros et du Nouvel Obs à 25 000 euros. Une bagatelle à côté de l’immense publicité qui a été ainsi faite au livre.
Plus humiliant : la une de l’hebdomadaire rebaptisé « le nouveau voyeur » par les collègues va être « défigurée » par la publication d’un communiqué, certes pas sur la totalité de la couverture, mais sur la moitié, ce qui est déjà une mesure assez rabaissante pour le grand journal de l’intelligentsia de gauche. Ça arrive très souvent à Voici.

Dommage... Ces vrais motifs d’indignation qui n’intéressaient pas Stéphane Hessel


Stéphane Hessel, ancien résistant, diplomate et écrivain, est décédé ce mercredi à l'âge de 95 ans. Il est l'auteur de l'ouvrage "Indignez-vous !" et restera dans l'histoire comme un grand défenseur des droits de l'homme.

«Des morts on ne dit rien ou on dit du bien» enseignaient sagement les anciens Romains.
Nous n’aurons donc rien à dire de Stéphane Hessel, laissant la gauche germanopratine lui organiser des funérailles alternationales.
Mais, puisqu’il vaut mieux être indigné que niais indigne, nous recenserons quelques scandales que la prose stigmatisante d’Hessel et ses acolytes ont passé étonnamment sous silence ces dernières années.
Quelle ironie de voir un ennemi numéro 1 de la finance et président de la République danser du ventre devant les agences de notation pour obtenir 0,1 % de rabais sur des taux d’intérêt afin de payer son armada de fonctionnaires !
Quelle misère que ces bobos circulant sur des Vélib’ ultra-subventionnés pendant qu’on ferme l’usine PSA d’Aulnay et que les prolos s’entassent dans des embouteillages ou des rames de métro pour lesquels on n’a rien investi depuis des années !
Quelle injustice que le sort de ces employés précaires du secteur privé travaillant 60 heures par semaine comme prestataires de service pour des administrations où l’on travaille 60 heures par mois !
Quel scandale que le prix des billets de train devenus inabordable car il faut payer pour les avantages en tout genre des salariés de la SNCF, en particulier leur comité d’entreprise !
Quel autre scandale que le prix de l’électricité augmentant pour les mêmes raisons que celui du train !
Quelle disgrâce que le destin de ces Roms que Valls expulse sans presque aucun murmure associatif ni émotion dans la presse de gauche !
Quel outrage que ces centaines de morts au Mexique, victimes des cartels qui approvisionnent en dopants et stupéfiants des consommateurs occidentaux qu’il ne faut pas stigmatiser !
Quelle aberration que cet oubli des victimes de Castro dont nul ne s’étonne que le frère prenne les commandes d’un Cuba misérable !
Quel drame que ces cités délitées malgré les dizaines de milliards d’euros dilapidés depuis 30 ans en politiques dites de la ville !
Quelle ineptie que cette crise du logement due au malthusianisme des maires de «gauche» qui refusent les permis de construire aux immeubles pour bourgeois risquant de mal voter sur «leurs» territoires !
Quelle étrange dyslexie que celle qui ne remarque jamais les roquettes s’abattant sur Israël mais toujours les actions de riposte israéliennes auxdites roquettes !
Quelle vergogne que ces politiciens qui, sous prétexte de défendre de prétendus acquis sociaux, font des enfants de France un futur lumpenprolétariat qui devra s’expatrier pour servir de domestiques en Asie ou ailleurs !
Quelle injustice que ces subventions coulant à flots en direction des mêmes théâtres et quel grotesque spectacle que celui des directeurs de ces établissements, tel Jean-Michel Ribes du Rond-Point, se tortillant devant Hollande, serré dans un costume rose ! Et que dire du système de l’avance sur recettes qui profite à une petite minorité de pistonnés ! Ou de l’endogamie et du népotisme généralisé dans le cinéma français qui fait que tant de jeunes acteurs de talents ne perceront pas, éliminés au profit des fils et filles de.
Quel mépris pour le peuple que ce choix systématique de lui mentir sur la gravité de la crise financière dans laquelle se débat l’Etat en prétendant que tout ira mieux par miracle l’an prochain, puis l’an prochain, puis l’an prochain !
Quelle stupidité que ce soutien aux Espagnols qui défilent contre les marchés financiers sans protester contre les investissements et embauches délirants des «généralités» socialistes !
Quel étrange aveuglement que de ne pas s’alarmer qu’un gouvernement soit constitué de professionnels de la politique et qu’aucun de ses membres ou presque n’ait eu à remplir des feuilles de paie et déclarations de salaires !
Les Indignés d’hier font les Consternés de demain ...


  • Quelle indignation de voir les petites frappes 
de la CGT qui seront amnistiés après avoir harcelé, insulté, tabassé leur ''collègues'' qui ne voulaient pas couler leur boite avec eux.

Jean Louis MASSON sénateur, son coup de gueule sur le cumul des mandats


Jean Louis MASSON sénateur, son coup de gueule... par Contribuables

La star du journalisme a parlé de l'amour de Hitler pour les musulmans


La journaliste Khadija Benguena, qui travaille à la chaîne de télévisionAl Jazeera, a publié sur son compte Facebook un message intitulé « L'humanité d'Hitler ».
En illustrant le titre, la journaliste a publié des photos de soldats et d'officiers de la SS, qui avaient confessé l'islam. La photo montre des soldats musulmans, qui faisaient le namaz, parce « qu'Hitler leur avait permis de prier ». Selon le journaliste, les victoires des nazis avaient donné aux musulmans la liberté de pratiquer l'islam.
« Les médias, qui se trouvent dans les mains des Juifs, masquent cette vérité et concentrent leur attention sur des spéculations liées à l'Holocauste » conclut la journaliste.
Benguena est la star du journalisme arabe. En 2007, le magazine économique américain Forbes l'avait placé dans la liste des 10 femmes les plus puissantes dans le monde arabe.