TOUT EST DIT

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jeudi 17 janvier 2013

La présidence à l'épreuve des crises

La présidence à l'épreuve des crises


Jamais, depuis son arrivée à Matignon, Jean-Marc Ayrault n'avait créé un tel silence à l'Assemblée nationale. En l'écoutant s'exprimer, hier et mardi, on a senti que l'heure était grave, que le quinquennat ne se jouerait pas seulement là où l'on croit, mais aussi que le pays était dirigé.
L'opposition et les Français découvrent un François Hollande qui multiplie et accélère les décisions. Beaucoup doutaient de ce talent, comme si sa manière d'être le décrédibilisait. La brutale mutation d'un Président, pacifiste dans l'âme et volontiers rieur, en un chef de guerre grave et martial, a surpris ceux qui le connaissent peu.
On saura vite si François Hollande fait partie de la race des grands hommes qui se révèlent dans les crises : entre le terrorisme, le chômage et la dette, il n'a que le choix. Et peu de temps.
En raison de l'Histoire, de sa présence militaire et des valeurs qu'elle représente, la France devait s'engager au Mali. Elle l'a fait, plus précipitamment que prévu, au terme d'une bonne préparation diplomatique, mais au milieu d'un dangereux isolement militaire en Europe, qui peut avoir des conséquences.
Les guerres ont toujours porté, dans un premier temps, la cote des présidents et l'unité nationale. Beaucoup moins lorsque s'alignent les cercueils enveloppés de linceuls tricolores, ou que s'allonge la liste des otages. S'il s'agit de fuir le bourbier afghan pour s'enliser dans les sables maliens, l'opinion pourrait décrocher et le terrorisme s'en délecter.
Si, dans quelques mois, le Mali n'est pas redevenu un territoire souverain, François Hollande aura des comptes politiques et budgétaires à rendre. D'une certaine manière, l'opposition, dès hier, a pris date, au moment, pourtant, où l'unité nationale ne devrait pas se discuter.
Des comptes, il devra en rendre aussi sur sa capacité à maîtriser les déficits publics. À cause des mauvaises rentrées de TVA, il manque déjà un milliard par rapport aux objectifs. Augmenter encore les prélèvements serait économiquement dangereux ; baisser brutalement la dépense publique serait socialement périlleux. Un peu de croissance en moins peut rendre l'équation insoluble.
Un an, c'est aussi le temps qu'il s'est donné pour inverser la courbe du chômage. Entre le crédit d'impôt, les emplois d'avenir, la Banque publique d'investissement, les contrats de génération et la négociation sur la flexibilité du travail, François Hollande est allé, en huit mois, plus loin et plus vite qu'on ne le pensait. Mais en attendant les résultats sur l'emploi, et alors que Renault alourdit la facture sociale, il s'est un peu mis le couteau sous la gorge.
À côté de cela, le mariage pour tous, le non-cumul des mandats semblent d'une urgence relative. Pourtant, sauf peut-être sur la procréation médicalement assistée, il ira jusqu'au bout. Et réunira le Congrès pour réformer le statut du chef de l'État. Parce qu'il en a mûri la conviction.
Ces exemples, sans lien autre que leur concomitance, illustrent sa méthode. François Hollande travaille, consulte, s'imprègne et tranche. Qu'il s'agisse du Mali, de la libération ratée d'un otage en Somalie, du dialogue social ou de sa politique industrielle, il considère que prendre son temps, c'est en gagner. Mais la méthode ne sera crédible que si elle produit des résultats. Dans un an ?

Que les pro-Européens donnent de la voix!

Les europhobes De tout bord, relayés par certains Médias très en verve, mènent bataille juin bruyante coulée précipiter la sortie du Royaume-Uni de l'Union l'européenne. Il Est Temps Que les pro-Européens se fassent entender et lancent non essentiel Débat sur la place de Londres en Europe, according to this éditorial du Guardian.

Théoriquement, l'ONU des rôles des hommes Politiques Est de susciter, d'alimenter et de Diriger Le Débat national sur Les Courants Problèmes.Verser la Grande-Bretagne, l'ONU de la SCÉ Problèmes est, sans Aucun Doute, l'avenir de l'Union Européenne et de la place du Royaume-Uni en fils sein . Et pourtant, nos politiciens - Peut-Etre et nos also médias - are longe de s'acquitter of this Tâche.
Verser TOUTES Sortes Raisons de Où se mèlent l'histoire, la géographie, la culture et la langue, Mais aussi QUELQUES residue d'illusion post-coloniale sur la supériorité britannique et l'infériorité continentale, beaucoup de Britanniques n'éprouvent that tiédeur et Manque d'Enthousiasme à l'egard de l'Europe . Verser this including raison, trop d'hommes Politiques de Tous Bords Preferent Suivre servilement ous Reprendre non tonne au-Dessous les positions de QUELQUES Journaux de droite, Qui coulée beaucoup are dirigés par des gens Qui nir paient PAS D'IMPOTS DANS CE paie et considèrent «l'Europe» Comme synonyme de REGLEMENTATIONS menaçant their interests de Propriétaires aisés. Pourtant, Alors Que beaucoup de Citoyens Ordinaires se montrent instinctivement, plus pragmatiques, plus Prudents et, including Parce qu'ils ne font Aucune Confiance à la presse, les politiciens ne les aident Guère un clarificateur Chaleurs Choix.

Consternante situation

Au fil des Années, la situation this soi Traduit à droite DANS Comme certaines Constant de gauches, par la montée d'ONU juin populisme anti-européen ordinaire. Ce Phénomène genere un DANS le Débat public britannique juin Sorte d'hégémonie de l'euroscepticisme. In the parti conservateur, le scepticisme envers, l'Europe se TRANSFORME desormais en Mépris profond et non irresponsable Qui Nourrit les Appels à l'UE lâcheur et favorise la montée de la formation indépendantiste UKIP. Ce Qui suscite DANS Tous les Partis la nervosité des politiciens aguerris ainsi que les.L'aboutissement de la situation consternante this, that les tombes Extrêmement Problèmes auxquels intérêt Aujourd'hui confrontée la zone euro ne contribuent Pas à arrangeur, l'intérêt collectif incapacity flagrant de la société civile, including en Angleterre (moins en Ecosse) de Réfléchir à la relation with the non l'Europe with minimum de réalisme ous d'objectivité.
Le Discours Annonce de David Cameron Sur La Grande-Bretagne et L'UE ferait bien d'en Appeler-aux-Hommes Politiques réfléchis et pro-européens.Peut-être de définitive qu'en, C'EST Ce qu'il en féra. Si CELA s'avérait, CE serait excellente juin choisi. Maïs rien n'indique that this sérums Le Cas.Certes, Ed Miliband a prononcé à la fin de l'Année dernière un tres discours devant fève les Représentants de la Confédération de l'industrie britannique . Il is also that vrai Nick Clegg et Presque Tous Les Libéraux démocrates Continuent à soutenir l'engagement européen l'. Maïs le travail Reste méfiant à l'egard de la question Européenne, et les Lib Dem s'efforcent, versez Raisons Diverse, de séduire l'opinion sur N'importe quel SUJET. CELA Laisse espace de manœuvre non beaucoup trop grand à des eurosceptiques Conservateurs de plus salle de audacieux en plus.

Nombreuses mises en garde

CELA DOIT changer - et vite. La mollesse du courant pro-européen ne obole Pas constituer coulée M. Cameron [un blanc-seing autorisant à l's'exprimer sans Aucune Contrainte au nom de la Grande-Bretagne} (3117931). En l'absence d'ONU Débat Politique serein sur les costs et les Bénéfices se trouve un engagement de L'DU ROYAUME-UNI DANS L'Europe, d'intérets other have ENFIN pu se faire entender. Il ya eu des interventions en IMPORTANTES Grande-Bretagne same, Comme à L'Etranger. Le Premier minister that irlandais déclarer un lâcheur l'UE serait desastreux for the Grande-Bretagne. Le minister des Affaires étrangères finlandais, Comme session homologues polonais et néerlandais avant Lui, une direction regrette la «non civilisée» au Québec prenait le Débat européen en Grande-Bretagne.L'administration Obama a mis en garde la Grande-Bretagne Contre le danger de repli sur soi et sur ​​le Insiste that Washington Souhaité voir Londres Forrester Dans L'UE. Un haut responsable de la CDU d'Angela Merkel a la déclarer that the Grande-Bretagne ne obole Pas rame de soi livrer au chantage vis-à-vis du Reste de l'Europe en bloquant la modification des Traités rendue par la crise Nécessaire de la de la zone euro. Maïs l'initiative Qui a sans Doute Le Plus de weight une Été Marcelle D'UN groupe de Dirigeants industriels et commerciaux Britanniques Qui Ont multiples demandé à M. Cameron de NE PAS Mettre en danger l'appartenance du Royaume-Uni à l'UE.
Tout CELA EST bienvenu et Utile. Maïs Observateurs Etrangers et Dirigeants d'entreprise avancent des arguments Que les politiciens et commentateurs Britanniques, y compris les Sérieux, plus au sein du parti conservateur, feraient bien de Reprendre à Luer account. La Grande-Bretagne osée d'être poussée par le parti conservateur et la presse europhobe à sa renonçais lieu en Europe. Les pro-européens devraient surmonter Inquiétudes their. Sur Il températures est Couleur that certaines voix restées trop Longtemps silencieuses fassent soi Aujourd'hui entender.

La crise frappe aussi la natalité


“Le taux de fécondité baisse pour quinze pays européens – sur 22 étudiés et comparables – entre 2008 et 2011” : la conclusion de l’Institut de démographie de Vienne reprise par Le Figaro est sans appel. La crise européenne frappe de plein fouet la natalité du Vieux Continent, notamment dans les pays du sud de la zone euro.
La crise européenne a un impact direct, et plus profond, sur la natalité qui plonge en Grèce (1,43 enfants par femme), au Portugal (1,35), en Espagne (1,36) et en Irlande (2,05).
Le quotidien français distingue le cas de la France et de l’Allemagne, deux exceptions en Europe, mais pour des raisons différentes. Même quand la natalité européenne était en forte progression dans les trois années de boom précédant la crise,
L’Allemagne n’a jamais connu de hausse. La France aussi est un cas à part avec un taux de fécondité qui a progressé de 1,8 à 2 en dix ans, malgré la crise, grâce à une politique familiale généreuse.
L’Institut de Vienne met en garde sur le risque qui pèse sur le renouvellement des générations en Grèce, en Espagne et au Portugal :
Phénomène inquiétant en Grèce, le nombre d’avortements a augmenté de 50% en 2011. Au Portugal, le nombre de naissances est tombé en 2012 à 90 000, son point le plus bas depuis 60 ans.
Le correspondant du Figaro en Espagne note enfin que
si rien ne change, le pays pourrait perdre plus de 10% de sa population au cours des 40 prochaines années.

Trierweiler : Hollande enfreint-il la séparation des pouvoirs?


En écrivant au tribunal de grande instance de Paris pour soutenir sa compagne Valérie Trierweiler, François Hollande a-t-il porté atteinte à la séparation des pouvoirs? Non à en croire certains spécialistes du droit constitutionnel.
La lettre ne comporte pas l'en-tête de la présidence de la République. Dans son courrier adressé au tribunal de grande instance de Paris, François Hollande a soigné chaque détail. "Je tiens à dénoncer comme pure affabulation les passages du livre La Frondeuse (p. 46 et 47) concernant une prétendue lettre jamais écrite et donc jamais parvenue à son prétendu destinataire", écrit-il pour soutenir sa compagne Valérie Trierweiler dans son procès contre les auteurs de la biographie La Frondeuse, qui s'ouvre lundi. Puis, il ajoute : "L'invention ne peut être un procédé dans un essai politique sauf à être présenté comme un roman."
Hollande et sa morue
Faut-il y voir un coup porté à la séparation des pouvoirs? "Absolument pas", assure au JDD.fr Dominique Chagnollaud, professeur de droit constitutionnel. Qui explique : "Ce n'est pas une intervention du président de la République en matière judiciaire, c'est une intervention du citoyen Hollande dans le cadre d'un contentieux privé." Et d'ajouter : "Ce n'est pas parce que monsieur Hollande est président de la République que c'est un citoyen diminué devant la justice." Même réponse de Pascal Jan, vice-président du Cercle des constitutionnalistes : "Rien n'interdit au président, qui est un individu comme un autre, de s'adresser au juge dans une affaire privée. Il agit en tant que compagnon de la personne visée par le livre. Il est en droit de se défendre." Tout comme Nicolas Sarkozy, qui s'était porté partie civile en janvier 2010 dans l'affaire Clearstream, alors qu'il était à l'Elysée.

"On nage en plein délire"

C'est pourtant bel et bien l'argument avancé par la droite, Jean-François Copé en tête, mais aussi par Me Olivier Pardo, l'avocat des auteurs de la biographie non autorisée sur la première dame. "La séparation des pouvoirs a été violée. Le président de la République est garant de l'indépendance de la magistrature. C'est absolument incroyable! On nage en plein délire", a-t-il dit avant l'audience devant des journalistes. "Je pense que l'audience va se retourner contre Valérie Trierweiler et contre François Hollande qui avait dit qu'il n'interviendrait jamais dans les affaires de justice" durant la campagne présidentielle, a-t-il encore rappelé.
Le candidat Hollande avait en effet promis de ne pas intervenir dans les affaires judiciaires en tant que chef de l'Etat, mais pas en tant que citoyen lambda. "On est très loin de ce qui a pu être fait dans le passé avec des pressions par voie hiérarchique via la chancellerie", a souligné une source proche du chef de l'Etat citée par l'AFP. Et d'assurer qu'"il s'agit d'un témoignage personnel de François Hollande à travers une lettre rédigée à titre privé sur papier libre dans le cadre d'une affaire qui concerne sa compagne."
Autre cas de figure, celui de Manuel Valls, qui a lui aussi écrit une lettre au tribunal de grande instance de Paris. Le locataire de la place Beauvau y confirme avoir reçu en juin dernier l'un des auteurs, Christophe Jakubyszyn, dans le cadre de la rédaction de son ouvrage. "Les propos qui me sont prêtés, dans ce livre, sont souvent approximatifs, partiels et sortis de leur contexte", écrit-il, ajoutant que certains propos cités dans six pages lui "sont attribués alors même qu'(il) ne les (a) pas tenus".

Une "erreur" de Valls?

Inacceptable là aussi pour Me Pardo, qui a souligné que ce courrier avait cette fois été rédigé "sur papier à en-tête (du ministère de l'Intérieur, Ndlr) alors que c'est une affaire privée". " C'est peut être une maladresse mais ça n'implique pas qu'il agit en tant que ministre de l'Intérieur", corrige Pascal Jan. "Ca ne pose pas plus de problèmes que quand un député s'adresse à un juge où il y a l'en-tête de l'Assemblée nationale", considère le juriste. Dominique Chagnollaud livre, lui, une analyse plus tranchée : "Là, Manuel Valls a eu tort. Son intervention prête à confusion", estime-t-il, avant de nuancer l'impact de cette erreur : "De là à dire qu'il s'agit d'une violation de la séparation des pouvoirs… Il ne faut pas utiliser des grands mots pour une petite chose." 

Choses vues et entendues aux vœux présidentiels


François Hollande a adressé ses vœux à la presse mercredi matin dans la salle des fêtes de l'Elysée. Puis le président a glissé quelques confidences aux journalistes sur la situation au Mali.

Il est 11 h mercredi matin et la rue du Faubourg Saint-Honoré est scrupuleusement surveillée par les policiers et la garde républicaine. À l'intérieur de l'Elysée, dans la Salle des fêtes, les visages les plus connus des médias français  piétinent la moquette rouge. Quelque 700 journalistes, dixit l'entourage de François Hollande, sont présents pour assister aux vœux de François Hollande à la presse. Parmi eux, Patrick Poivre d'Arvor, Marie Drucker, Christophe Barbier, Emmanuel Chain, Denis Olivennes, Bruno Masure…Seuls deux membres du gouvernement sont présents : les ministres Najat Vallaud-Belkacem et Aurélie Filippetti.
Connard 1er
Le président doit prendre à la parole à 12h. Finalement, c'est avec plusieurs minutes de retard que son arrivée est annoncée par l'huissier. "Monsieur le président de la République." Avant lui, Alain Barluet, le président de l'association de la presse présidentielle, glisse dans un bref discours quelques notes d'humour à l'endroit du chef de l'état. "Avec nous (les médias, Ndlr), c'est du sérieux", dit-il en référence à la formule utilisée par Nicolas Sarkozy cinq ans plus tôt au même endroit pour officialiser sa relation avec Carla Bruni. C'est ensuite l'hôte des lieux qui prend la parole dans un silence de plomb. En préambule, l'intervention au Mali. Puis le président rappelle les priorités du gouvernement : l'emploi, la jeunesse et "la préparation de l'avenir". Avant de faire quelques annonces sur la presse. 

"L'engagement sur le terrain, c'est maintenant"

12h56, fin du discours. Valérie Trierweiler, elle-même journaliste, vient saluer quelques-uns de ses confrères, dont elle est séparée par un cordon rouge qui longe l'estrade. François Hollande la retrouve. Le couple présidentiel salue les visages qui lui sont familiers, serre des mains. Certains ont droit à une bise. Pendant ce temps, les petits fours qui recouvrent les buffets ainsi que les coupes de champagnes trouvent rapidement acquéreurs.  
Les journalistes forment vite un essaim autour du chef de l'Etat. Le président prend son temps et répond volontiers aux questions de ceux qui l'interpellent. Y a-t-il des Français dans la prise d'otages qui a eu lieu en Algérie le matin même? François Hollande ne veut ni confirmer, ni infirmer, faute d'informations suffisantes. La discussion se concentre sur un seul et même sujet : l'intervention française au Mali. "L'engagement sur le terrain, c'est tout de suite, c'est maintenant", glisse-t-il sous la verrière de la Salle des fêtes. Le chef de l'Etat ne veut pas donner de date de fin d'intervention par peur "de ne pas les respecter et de se retrouver dans une situation de fragilité". "Le but, c'est de vaincre (…) Tout dépend de ce qu'on aura en face." Il précise aussi : "On va encore être seul une semaine le temps que les Africains et les autres arrivent." Il redoute notamment "l'après-guerre, un moment toujours compliqué". "Voyez l'après-guerre en Irak." 
Un journaliste de la presse étrangère ose changer de sujet : "Monsieur le président, quel est votre vœu pour 2013?" "Je vais répondre comme pour Obama (lorsqu'on lui avait demandé qui il soutenait pour la présidentielle américaine, Ndlr) : à votre avis?"