TOUT EST DIT

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jeudi 20 décembre 2012

La CGT : 117 ans de manipulation prolétarienne

« La CGT, c’est le Cancer Général du Travail ; encore que Krasucki dit que c’est faux, parce que le cancer évolue, et pas la CGT ! », racontait Coluche.
Trente ans plus tard, cette boutade reste d’actualité tant ce syndicat donne l’impression de faire un pied de nez au darwinisme.
Son horloge interne s’est arrêtée à la fin du XIXe siècle, lorsqu’il était question de pendre le dernier patron avec les boyaux du dernier contremaître.
De sa naissance en 1895 aux dernières manifestations de l’automne 2012, la Confédération générale du travail alias « La Cégète » a toujours été un syndicat primaire préférant l’affrontement au dialogue, le sabordage au compromis.
Mais aussi…
- De la défense des ouvriers à celle des immigrés : un siècle de manipulation prolétarienne.
- Avec Thierry Lepaon, les cocos sont toujours aux manettes.
- Le 1er syndicat de France.
- L’énigmatique Monsieur Thibault.
- Thibault et Sarko : « Je t’aime, moi non plus ».
- L’argent du grand frère soviétique.
- Jean-Luc Touly : « Le syndicalisme doit jouer son rôle dans l’indépendance et la transparence ».

Quand la CGT tue nos emplois
Le chimiste Arkema a renoncé, mi-novembre dernier, à investir 70M€ dans son usine de Pierre-Bénite dans le Rhône. Le motif ? Une minorité de salariés menés par la CGT ne voulait pas du projet. La punition ? Arkema va investir cette somme sur des sites de production en Chine ou aux Etats-Unis. A terme, l’usine, qui perd de l’argent, est menacée.
Lip, Manufrance, Moulinex, Continental …

On ne compte plus les entreprises révolvérisées, victimes des coups de boutoir du tueur en série de l’économie française qu’est la CGT.
Et quand le syndicat ne bloque pas les usines, c’est par des manifestations de rue que les cégétistes paralysent le pays, à en faire rougir de honte les communistes chinois…

Mais aussi…
- C’est l’économie française qu’on assassine.
- Le Syndicat du Livre : monopole, bonnes combines et gros sous.
- Grèves : le PC chinois vilipende la CGT.
- Comment la CGT a coulé le port de Marseille.
- La CGT patron voyou.

Un syndicat assis sur un tas d’or
La CGT donne des leçons de capitalisme, mais pas celles auxquelles on pouvait s’attendre. Car en regardant de plus près les comptes de la Confédération et de ses satellites, on découvre que le syndicat dispose d’une réserve financière de 82 millions d’euros dont 41 M€ en placements.
Qui dit placement financier, dit excédent d’argent que l’on chercher à optimiser. On est loin du discours proféré sur des banderoles dans la rue ou sur les barricades syndicales bloquant des entreprises dont le cours en bourse fait monter la valeur des placements de la CGT !
Quelle malhonnêteté intellectuelle de la part de ce syndicat que de faire croire aux Français que le capitalisme qui les nourrit est la racine du mal, quand ledit syndicat fait le contraire de ce qu’il prône !
Et ce, d’autant plus qu’une bonne part de cet argent provient de subventions publiques, c’est-à-dire de la poche du contribuable…
Mais aussi…
- D’où vient le pactole ?
- Sondage : un Français sur deux souhaite que les syndicats vivent uniquement de leurs cotisations.
- Le rapport interdit de Nicolas Perruchot.
- Quand la CGT joue plus de 40 millions en bourse.
- La gamelle du paritarisme.
- « CoGétise » ou comment détourner les cotisations des adhérents.
- Un milliard pour les syndicats de la fonction publique.
- Les contribuables font annuler une subvention.
- Montreuil, son univers impitoyable.
- Jérôme Dubus : « Delanoë chouchoute la CGT ».

Le scandale des comités d’entreprise
SNCF, RATP, EDF-GDF, Air France : ces places fortes de la CGT que sont les comités d’entreprise de la sphère publique lui ont permis de toucher le gros lot. Ces CE aux effectifs pléthoriques sont financés sur le dos de l’usager et du contribuable.
Saviez-vous qu’1 % de votre facture de gaz et d’électricité va dans les poches du comité d’entreprise EDF-GDF géré par la CGT ? Lequel CE n’a pas les braies très propres : un procès va bientôt s’ouvrir.
Au comité de la SNCF, tenu de longue date par la CGT, la Centrale aime à se donner des airs de Madone des Sleepings et convie les autres syndicats à goûter à la soupe de l’argent facile.
Et c’est sans parler du CE de la RATP où, faisant fi des recommandations de la Cour des comptes, nos syndicalistes jouent à grands frais les duchesses dans leur château du XVIIe siècle, en Vallée de Chevreuse : un parc magnifique de 74 hectares, trois courts de tennis, un mini-golf, un étang à truites…
Cette somptueuse datcha, réplique d’un château de la Loire, appartient à la CGT !
Le ministre du Logement Cécile Duflot veut réquisitionner les locaux de l’Eglise catholique qui fait déjà tant pour les pauvres en France. Qu’elle s’occupe plutôt de loger les sans-abris dans le château de la CGT !
Mais aussi…
- Le train de vie délictueux du CE de la SNCF.
- Les bonnes affaires du salon de Montreuil.
- Fraudes à gogo à la CGT-RATP.
- Le trésor de guerre du comité d’entreprise EDF-GDF.
- Gabegie et faillite à Air France.
- Hédy Sellami : « L’argent de la CGT, un scandale d’État »
- Au cœur d’une manif.
- La CGT et la CFDT interdisent la création d’autres syndicats.
- Eloi : « Bons baisers de la CGT ! »

Russie : Poutine prêt à offrir un passeport à Depardieu

L'affaire de l'exil de Gérard Depardieu en Belgique n'en finit pas de rebondir. Cette fois, c'est Vladimir Poutine qui a déclaré être prêt à accueillir l' français si celui-ci le souhaite.

Il réagissait aux propos prêtés en France à l'acteur, engagé dans une polémique après avoir annoncé qu'il quittait le pays pour la Belgique pour des raisons fiscales. «Poutine m'a déjà envoyé un passeport», avait déclaré l'acteur, selon des amis cités mardi par Le Monde. Le porte-parole de Vladimir Poutine, Dmitri Peskov, avait estimé mercredi que l'évocation d'un passeport russe était «vraisemblablement une plaisanterie».

La relation amicale de Depardieu avec Poutine

Une polémique a éclaté en France après que le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a qualifié l'exil fiscal de l'acteur d'«assez minable». «Je suis certain que les hauts responsables (français) ne souhaitaient pas vexer Gérard Depardieu», a poursuivi Vladimir Poutine. «Nous, les hommes politiques, nous défendons toujours notre politique et les décisions que nous prenons. Si cela a été fait de manière pas très délicate, c'est tout au plus un accroc regrettable», a-t-il ajouté. «Nous avons avec Gérard Depardieu des relations amicales, mais je sais qu'il se sent français», a encore déclaré le président russe.

Se sentant «injurié» par le Premier ministre français, Gérard Depardieu avait annoncé dimanche dernier vouloir «rendre» son passeport français et envisager de prendre la nationalité belge.

Les socialistes se sont-ils souvenus du cas de Yannick Noah (leur soutien) en insultant Gérard Depardieu ?

On croyait bêtement que tout citoyen peut à sa guise s'installer où il veut à l'intérieur de l'UE. Eh bien, quand le délinquant est un sale bonhomme qui entretient 80 salariés mais a soutenu l'infâme Sarkozy aux dernières élections, c'est non, trois fois non !
On savait depuis longtemps que le socialisme a le pouvoir de rendre idiots ses usagers mais voici qu’il les rend fous.
Pendant des mois, la gauche bigote et sa meute médiatique ont poussé de cris de vierge violentée après que Nicolas Sarkozy se  soit permis de traiter de “racailles” les jeunes artistes de Seine Saint-Denis qui, du haut des tours,  balançaient des vieilles machines à laver et des parpaings sur les voitures des pompiers. La  “vulgarité “ du nouveau président donnait des vapeurs aux petits marquis et aux douairières du salon rose de la rue de Solferino.
Cette fois, au prétexte que notre Cyrano a tiré sa révérence, les mêmes, avec une délicatesse de poissards et de harengères, dégobillent sur la tête de notre Gégé un chapelet d’insultes qui ne les enverra pas pour autant au paradis. Déjà qu’il était pittoresque de festonner un impôt à 75 % mais quand on entend, sortis du bec d’un premier ministre et de ses honorables comparses, voler, au dessus de l’ex-frontiére franco-belge, des mots aussi rigolos que “minable”, “déserteur “, “déchéance personnelle “, etc , on se dit qu’on a eu bien de la chance de virer un petit sagouin qui ne supportait pas le beau langage de Mme de La Fayette .
Douce France où un gouvernement qui dort dans les bras de l’Europe est soudain frappé d’amnésie. On croyait bêtement que tout citoyen peut à sa guise circuler et s’installer où il veut , à l’intérieur de l’Union. Eh bien, quand le délinquant est  un sale bonhomme qui a toujours payé ses impôts et entretient 80 salariés mais a soutenu l’infâme Sarkozy aux dernières élections, c’est non, trois fois non ! Et s’il s’appelle Yannick Noah ? Là,  c’est différent. Il aurait été immoral qu’un artiste de seconde main mais qui pense comme il faut n’ait pas eu le droit de mettre ses sous au chaud pendant des années, là où ils étaient peinards .
Mais le plus cocasse reste à venir .
Notre crabe du Fbg Saint Honoré, qui n’en pince pas pour les lois fiscales en vigueur chez les Belges, s’est frappé le front et une idée lumineuse a jailli aussitôt : pour que les Français ne se tirent plus au pays de Breughel, c’est à la Belgique de faire comme nous .Autrement dit, à elle, les joies intenses du 75%,de l’Isf , de l’imposition sur les donations et les plus-values, etc ! Le lendemain même, j’ai bien senti que Didier Reynders, interviewé à Europe 1, se tenait les côtes à l’idée que la France pourrait obliger sa voisine à changer ses lois. Étant ministre des Affaires Étrangères de Belgique, il s’est tenu poliment à carreau.
Le million et demi d’expatriés français en Grande-Bretagne, Suisse,Allemagne,Belgique ou États-Unis, n’étant pas tous des milliardaires et la France étant le seul pays de l’Union européenne à voir ses cerveaux et ses talents filer à l’étranger, cherchez l’erreur. 

La leçon de Colbert pour plumer les oies (ou les Depardieu) avec le moins de cris possible

Colbert, le ministre des Finances de Louis XIV, a un jour déclaré que l"'art de l'imposition consiste à plumer l'oie pour obtenir le plus possible de plumes avec le moins possible de cris". L'Etat français a toujours appliqué ce précepte, mais il est aujourd'hui difficile d'étouffer les cris...

Le grand Colbert a déclaré que l'"art de l'imposition consiste à plumer l'oie pour obtenir le plus possible de plumes avec le moins possible de cris". L’Etat français a toujours appliqué avec succès ce précepte. Du moins jusqu’à aujourd’hui, car, devenu l’un des plus dépensiers du monde, il n’arrive plus à étouffer les criailleries.
Dans le passé, des oies parmi les plus grasses se sont bien échappées de la bassecour mais elles l’ont fait dans un silence dont l’Etat s’est rendu complice de peur qu’ébruité leur exemple ne soit trop largement suivi. De peur aussi que les masses envieuses ne s’aperçoivent qu’en fin de compte elles paient les conséquences d’un impôt démagogique. Mais voilà que l’un de nos gros volatiles s’enfuit en claquant la porte de la volière. Scandale.
Comment faire pour que dorénavant les riches oies n’échappent plus au plumage ? Quatre solutions paraissent possibles.
Leur faire honte de ne pas se laisser arracher en silence ce qu’elles ont sur le dos est la solution choisie par le gouvernement de Monsieur Hollande. Sans succès, bien au contraire, puisque les insultes de ses ministres n’ont fait qu’ébruiter le non-sens de ses méthodes.
Obtenir l’uniformisation fiscale en Europe, la seconde solution, impliquerait soit que nos partenaires haussent leurs impôts au niveau des nôtres (mais pourquoi prendraient-ils une mesure aussi contraire à leurs intérêts ?), soit que nous abaissions substantiellement les nôtres (ce qui reviendrait à renoncer à nos impôts confiscatoires).
La troisième solution consisterait à imposer les citoyens français quelle que soit leur lieu de résidence. Elle suppose la révision fondamentale de nos traités fiscaux avec tous les pays en commençant par ceux à faible fiscalité. Ce que ces derniers n’accepteraient pas sauf à les soumettre à des pressions que dans le passé seuls les Etats-Unis ont eu les moyens d’exercer.
Enfin, imposer une Exit Tax, aux prétendants à l’exil fiscal comme a essayé de le faire, trop timidement pour être efficace, le Président Sarkozy constitue une quatrième solution. Adoptée en Allemagne sous le nom de Reichtsfluchtsteuer elle a permis en son temps de raser intégralement les oies candidates à l’exil. Précisons que cela se passait en 1937 et que les oies en question étaient les Juifs fuyant le régime nazi.
Force est de constater qu’aucune de ces solutions n’est praticable. Il reste donc pour appliquer l’enseignement du Contrôleur général des finances de renoncer au rasage intégral que l’on cherche à infliger à nos oies les plus richement parées.

Liberté d’expression et tabous

Liberté d’expression et tabous


J’ai lu avec le plus vif intérêt l’interview de Pascal Bruckner dans le Point de cette semaine. L’écrivain y déclare:  » Nous nous prétendons une démocratie, libre de toute tutelle, mais nous secrétons des tabous comme Monsieur Jourdain faisait de la prose et les tabous nous empêchent de réfléchir. Ce sont des camisoles mentales qui recréent un esprit de censure, une pathologie du langage. Cette police de la pensée prétend régir nos esprits et procède par clichés acceptés sans le moindre examen. » Les questions de l’Europe, de la sécurité et de l’immigration par exemple, sont, selon lui, au coeur des interdits idéologiques.  J’ajouterai qu’il  a deux façons de détruire la liberté. La première est la diabolisation forcenée que pratiquent les gourous de la pensée unique en traitant « d’extrémiste de droite » ou de « lepénistes » tous ceux qui aspirent à la liberté de parole ou  simplement, à exprimer les faits, la réalité. Pascal Bruckner le dit très bien: « Aujourd’hui, quand on veut disqualifier quelqu’un, on l’assimile instantanément à l’extrême droite. »  Mais à l’inverse, la pratique de l’insulte, de la provocation vulgaire à la haine, la grossièreté démagogique et l’agressivité desservent tout autant la liberté d’expression en donnant d’elle une image caricaturale. Bref, les deux sources de la censure – la diabolisation et la provocation haineuse – se nourrissent mutuellement. Pascal Bruckner délivre un message d’espoir à travers une belle image: « Heureusement, pareilles à ces blocs qui se détachent de la banquise, nos sociétés traversent régulièrement des périodes de déglaciation qui libèrent la langue et la pensée vivantes.«  En voyant éclore en ce moment de nombreux sites et blogs, qui concilient une totale liberté d’expression sur les sujets les plus tabous et l’intelligence de la modération du ton (voir les  liens ci-joints dont « l’Union républicaine » est le plus récent), je me dis qu’une fenêtre est peut-être en train de se rouvrir pour la libre parole en France…

Luchini à Torreton : «Quand on attaque Depardieu, il faut une filmographie solide»

Gérard Depardieu a trouvé un soutien de plus dans le milieu du cinéma. Mercredi, dans un chat avec les internautes de «Sud Ouest», Fabrice Luchini a vertement critiqué Philippe Torreton, auteur d'une violente tribune contre Obélix lundi dans «Libération». «Depardieu, c'est un ami, a-t-il souligné. Et je ne juge pas mes amis. Par contre, ceux qui jugent Depardieu, surtout s'ils sont acteurs, ils devraient juger aussi leur filmographie.» Une façon pour l'acteur vu récemment au cinéma dans le film «Dans la maison» de François Ozon de balayer les critiques sur l'exil fiscal en Belgique d'Obélix.

Luchini a ainsi ironisé sur la filmographie de Torreton qui a «fait L627», le film de Bertrand Tavernier sur la police sorti en 1992. «Moi je ne fais pas des leçons de morale, chacun dit ce qu'il veut, a-t-il poursuivi. C'est suicidaire de se confronter à un monument du cinéma.»

L'affaire Depardieu continue donc de susciter l'émoi. Mercredi, Brigitte Bardot a ainsi apporté son soutien à l'acteur. Tout comme Roxane Depardieu, la fille d'Obélix.

QU'EST CE QU'UN TORRETON, ARTISTE RATÉ, VIENT DIRE DANS UN CANARD AUSSI MERDEUX QUE "LIBÉ" ORGANE DU PARTI AU POUVOIR ? QUI S'EN INQUIÈTE ? 
LES BOBOS...JALOUX DE TOUS.